Marylène se réveille ! - Histoires de Sexe

Marylène se réveille !

... pendant six mois sans jamais avoir libertiné ! C’est un comble ! Comme quoi, les cordonniers sont parfois les plus mal chaussés !— Ah, ça c’est bien toi, Christophe ! Je les entendais dire que tout était délicieusement bon à dévorer, à remplir et que foncer dans les minous implorant le plaisir était le minimum à faire.— Oui, mais surtout des vantards qui se prenaient des claques ; par contre, les habitués n’obtenaient que rarement un refus et savaient y faire pour repérer leurs futurs partenaires.— C’était sûrement ceux-là qui faisaient les« Rocco » avec moi avant de repartir bredouilles ! Je n’ai jamais voulu franchir le pas du libertinage, mais pourtant j’ai été tentée en voyant les bouches avides se régaler des liqueurs féminines ou du jus des hommes. Ooooh… ça non, je ne suis pas restée insensible devant les jeux des femmes qui resserraient leurs lèvres sur les verges vigoureuses jusqu’à l’explosion, et j’ai rêvé plus d’une fois d’être à la place des langues qui se dépêchaient de laper le sperme ; mais je n’aurais pas voulu ensuite échanger les jus dans des baisers torrides.— Beaucoup n’embrassaient pas car, là-bas, c’était réservé à l’amour.— Moi non plus, je n’aurais pas pu m’abandonner aux baisers comme cela sans amour. Je ne marche qu’avec de l’amour ; il me faut l’amour. D’ailleurs, j’ai envie d’amour !— Marylène, je te sens bien excitée… je suis curieux de savoir comment est ta petite culotte. —oooOooo— Je me lève alors du fauteuil et pose mon recueil de souvenirs ...

... sur la table basse du salon, puis je me plante debout à un bon mètre de Christophe, les jambes légèrement écartées pour contrôler avec un doigt l’état du tissu. — Bonne à enlever, je t’assure ! Un, deux, trois, et hop ! Plus de culotte ! D’ailleurs, la dentelle ne suffisait plus à retenir ma petite coulée de minette toute chaude.— Comme ça, sans que je participe ? Mais tu me tortures, Marylène !— Christophe, si tu ne me laisses pas délirer avec mon journal, je sens que je vais t’attacher les mains… tiens, justement : avec ma culotte ! Par contre, pour les pieds, ce sera un peu plus tard… disons avec mon soutien-gorge !— Et tu crois que je vais me laisser faire comme ça ? L’envie me prend à ce moment de faire une petite démo d’ondulations lascives, juste pour montrer à mon mari que je sais encore jouer de mes charmes et le convaincre de dire oui. Je me mets à bouger sensuellement mon bassin et balance mes belles rondeurs à chaque fois que je plie ma taille un peu à la manière orientale des danseuses du ventre. Puis je lui susurre : — Même pluuus… si je vais chercher mes ciseaux et que tu t’occupes toi-même de mes dessous affriolants.— Là, tu ne doutes vraiment de rien !— Absolument… mais avant, tu prendras le temps de souffler looonguement sur ma culotte jusqu’à ce qu’elle soit sèche pour ne pas prendre le risque de faire rouiller les ciseaux…— J’ai hâte… Lance-moi ta culotte que j’en respire toutes tes odeurs de femme volcanique.— Tiens, attrape ! Il l’attrape à la volée et la ...