Marylène se réveille ! - Histoires de Sexe

Marylène se réveille !

... de plaisir, fou de bonheur et fou d’amour : — J’ai vraiment très envie de retourner entre tes fesses, à les regarder dans le miroir, si diablement écartées ! En plus, il ne demande que ça, ton petit puits : juste que je le remplisse avec de grandes giclées de sperme, puis un bon gros plaisir avec le plug qui pataugera dans mon jus… Il n’y a rien de tel pour te déclencher de multiples orgasmes. C’est fou ! Plus j’ai envie de toi et plus je t’aime ! Et là, ça déborde littéralement !— Yeeeee ! Chaud, chaud, brûlant, prêt à exploser dans moi et fou d’amour, c’est excellent pour notre bonheur ! J’ai envie de me lâcher comme jamais je ne l’ai fait. Il y a la musique et ma danse pour un seul mot qui m’envahit : Amour ! Et je danse et je danse… Amour, celui que j’ai cherché, eu, puis perdu et retrouvé. Celui« pour » Christophe et celui« de » Christophe. Et je danse et je danse ! Amour qui éloigne de plus en plus ma tristesse à chaque mouvement ! Et je n’en finis pas de danser sur la musique orientale. Amour ! qui me fait devenir Shéhérazade, captivante conteuse, et je parle avec mon corps. Puis je me fais Amazone en me mettant à genoux, en écartant mes cuisses et en balançant en musique ma croupe d’avant en arrière, comme pour une chevauchée fantastique. Et je laisse à ma mouille le droit de perler sur la table pour que Christophe regarde apparaître sur le miroir mon plaisir qui coule. — Divin ! Grandiose ! Extra ! Continue… moi, je me branle ! Excité, il vient récupérer ma goutte du ...

... doigt, l’avale et s’active encore plus sur son membre turgescent rougi par les frottements de sa main. Je bascule ma tête en arrière et je deviens Aphrodite, déesse d’amour et de tendresse à la quête d’un baiser dans le cou que je lui réclame en posant un doigt dessus : — S’il te plaît, là ! Il vient m’embrasser et passer sa langue sur mon cou. J’adore ! Il sait bien me faire vibrer, mon coquin de mari. — Tu es délicieusement torride, ma chérie, bonne à croquer et je suis comblé.— Uhmmmm… Tu confirmes qu’il n’y a rien de tel qu’une glace pour te faire chauffer ?— Je ne peux que m’incliner devant ton imagination débordante de coquinerie et je suis brûlant de désir.— Alors il est temps ! Je m’allonge sur la table basse avec mes jambes resserrées et repliées pour qu’elles prennent appui sur le plateau de verre. Puis j’attrape les ciseaux retenus par ma culotte, je les lui tends et d’une voix… indéfinissable : — Mon amour, à toi ! Je serre mes poignets l’un contre l’autre au-dessus de ma tête, mes yeux dans les siens. — Voilà ta belle culotte dénouée et j’aimerais que tu me l’offres en souvenir : j’ai envie de la garder dans un tiroir de ma table de nuit.— Elle est à toi, mais avant… coupe ! Il cisaille la dentelle sur les deux côtés et place le fond qui a reçu ma première coulée de cyprine entre mes poignets, puis les tours de cuisses séparées en deux par les ciseaux lui permettent de lier mes mains. — Continue à me dévêtir, mon amour ; le soutien-gorge attachera mes chevilles. ...