1. Petite mousse


    Datte: 23/01/2018, Catégories: fh, hplusag, bateau, fsoumise, hdomine, fsodo, init,

    ... satisfaction d’un besoin égoïste ? Un moment, elle s’était dit qu’après avoir promis de venir, elle n’avait pas le droit de manquer à ses obligations. Le moment suivant, elle avait ressenti le ridicule de cette contrainte qu’elle s’était créée elle-même. Encore un peu plus tard, elle s’était dit que non, quel qu’il soit, un engagement était un engagement ; et elle ne voulait surtout pas le décevoir. Elle regardait le carré, la table, qu’elle avait imaginée pendant tout le trajet qui l’avait amené là. Elle avait pensé que ce serait là… Cette pensée envoya un frisson d’anticipation et de crainte dans son corps. Sophie eut un bref sourire, cherchant à masquer son anxiété, prit sur la table la première chose que sa main trouva – un calendrier des marées – essayant très fort de cacher le rouge soudain monté à ses joues. Alors qu’elle feuilletait les pages du calendrier, elle le sentit s’approcher d’elle, par derrière. En apparence elle l’ignora, continuant à tourner les pages. Intérieurement, ses pensées s’étaient figées, concentrées sur sa présence de plus en plus proche. Tous ses muscles s’étaient soudain tendus. Il se pencha sur elle, sa respiration légèrement audible dans son oreille alors que leurs corps se touchaient. Sa poitrine se contracta. Elle prétendait toujours l’ignorer, mais commençait à se sentir trembler et pouvait à peine distinguer les pages du calendrier à travers ses yeux mi-clos. Sans avertissement il fit glisser ses doigts, légèrement, sur l’arrière de son ...
    ... pantalon – son toucher se propageant depuis la surface de sa peau, puis déclenchant le frisson de tout son corps, la surprenant par son intensité et lui faisant presque lâcher le calendrier. En la voyant vaciller, il rit, mais ne retira pas ses doigts. De son côté, elle continuait à feuilleter les dernières pages, ignorant le fait qu’elle ne voyait plus rien. Finalement, elle reposa le calendrier, se retournant vers lui. — Mettez-vous à genoux, mousse, lui dit-il. Sophie obéit, pendant qu’il déboutonnait tranquillement son pantalon. Son sexe en jaillit. Il l’empoigna par les cheveux, la guida… Elle le prit dans sa bouche, appréciant sa puissance, découvrit son goût. Fermant les yeux, elle s’appliqua à sa tâche, espérant bien faire, et réalisant vite qu’elle y réussissait pleinement, réussissant à le troubler, le faire frémir. Mais, la tenant toujours par les cheveux, il l’interrompit d’une main ferme. — Relevez-vous, mousse, vous avez bien fait votre premier devoir. Sophie se releva, lentement, pleinement consciente que ce premier devoir en impliquait un second, celui qu’elle avait redouté, imaginé, espéré, pour lequel elle était novice. — Tournez-vous. Sophie, pivota, se retrouva face à la table à cartes. — Déboutonnez votre pantalon. Sa respiration s’intensifia progressivement pendant qu’elle enlevait bouton après bouton, d’un côté puis de l’autre. Au dernier, elle retint l’étoffe deux ou trois secondes, sachant ce qui allait arriver. Puis elle la lâcha. Instantanément, le ...
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