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La patrouille s'agrandit
Datte: 24/01/2018, Catégories: fh, fhh, 2couples, couplus, cocus, voisins, vacances, plage, piscine, caférestau, amour, Oral Partouze / Groupe fsodo, échange, confession,
... ruissellent. Mais un homme a d’autres sens. Même les yeux fermés et dans le noir le plus total, sa bouche saurait trouver le chemin. Elle vient faire un bouche-à-bouche à la fente magique. Même un bon nageur a besoin de respirer ; pour s’éviter de plonger afin de suivre les chairs enviées sous l’eau, il utilise ses mains sous les fesses pour augmenter la flottaison. Maintenant le corps est échoué. Il ne risque plus de couler et de s’échapper. Il ne risque pas plus de dériver car sa propriétaire se charge de le maintenir au rivage d’une main qui se veut ferme. Les sucs se mêlent à l’eau, mais c’est si bon… Il aime cette odeur que Lisa sécrète. Il lèche et suce avec comme seuls outils sa langue et ses lèvres. Non, la vérité historique doit affirmer que son nez joue l’explorateur. Il adore les mouvements de sa naïade. Pas de cris de jouissance, non, juste quelques crispations qui ne peuvent lui cacher sa réussite. S’il pouvait questionner les deux observateurs que sont Gérard et Martine, nul doute qu’ils confirmeraient que Lisa jouit. Mais peut-être qu’elle est encore en mesure de se contrôler pour ne pas perturber le sommeil de Fabian qui dort juste de l’autre côté du bassin. Jean se sent pousser des ailes. Il se redresse, et son sexe réapparaît dans toute sa splendeur. Cette femme l’inspire. Le goût de la jeunesse ! La fraîcheur de ses réactions ! Le plaisir de savoir que Martine regarde. Après tout, c’est la première fois qu’elle le voit avec une autre. Mais aussi – et ...
... peut-être surtout – de savoir que Lisa va se donner à lui alors que son compagnon est juste à portée de regard. La "coincée" apprend vite à défaire les nœuds qui la ligotaient. Peut-être qu’elle a été "guide" dans sa jeunesse. Malheureusement, du temps de Jean, scouts et guides ne se rencontraient jamais. Il dirige sa bite vers la chatte qu’il maintient toujours hors de l’eau. Il entre doucement, savourant cet instant magique où l’on glisse la première fois dans l’intimité d’une femme. Il ne pousse pas fort, mais pourtant Lisa a maintenant sa tête contre le bord du bassin. Il la tire à lui pour terminer son chemin ; le corps flottant est une plume à manœuvrer.« Le plaisir, pense Jean,c’est de prendre son temps, de savourer chaque instant et de dégager son esprit des pensées négatives. » Sa maîtresse est une onde sur l’eau. Il s’amuse à suivre les vaguelettes que ce corps qui avance et recule déclenchent. Elles chatouillent délicieusement son pubis, rafraîchissant sa peau qui chauffe au soleil. Lisa est toute entière à sa merci. Elle le laisse maître de son rythme, de son avancée dans la grotte partiellement noyée. Elle est totalement détendue. Son visage est serein. Ses yeux fermés. Il le regrette presque car il aurait voulu voir le plaisir dans son regard. Combien de temps dure cette douce musique des corps ? Il ne peut le dire. Une fraction de seconde à l’aune du plaisir, c’est déjà beaucoup. Il n’en attendait pas tant. Pourtant, brusquement Lisa se crispe. Elle a ouvert les yeux ...