1. Top Model (8)


    Datte: 08/07/2017, Catégories: Transexuels

    ... IPhone — Oui, moi, dis-je, fière de mon coup. — Laurent ? — Laurène désormais. — Tu ne m’avais pas dit que ... — Non c’est vrai. Excuse-moi. J’ai pensé que si je te le disais, tu n’aurais pas voulu me voir. — Tu es bête ! Raconte-moi comment tu en es arrivée là. Je lui racontai le comment et le pourquoi, passant sous silence mes frasques avec mes patrons, Helena et surtout Stéphane. Marion était toujours employée de banque, même si elle avait pris un peu de galons. Elle me parla de Nicolas. A cause de moi, il avait eu envie de rencontrer un travesti qui lui rappellerait Perrine, son premier grand amour. Il s’était mis à fréquenter les boites et soirées réservées aux travestis et transsexuels. Et ça avait payé ! Il avait rencontré Eric ou Erika, selon que l’on était le jour ou la nuit. Ça avait très vite accroché entre eux deux, si bien que Nicolas avait décidé de demander sa mutation pour Lyon pour vivre avec son nouvel amour. Léa était fidèle à elle-même. Instit le jour, salope la nuit. Elle fréquentait un forum où elle donnait rendez-vous à ses amants, parfois en solos, souvent en groupes. Une fois, elle fut invitée par un couple. Et l’homme vanta ses qualités de suceuse en disant à sa femme de prendre des leçons. Cela lui donna l’idée de donner des cours de fellation mais aussi de léchage de minou. Cours payants bien sûr. Et selon ses dires, cela arrondissait largement ses fins de mois. On parla beaucoup de moi, de mes nouvelles fonctions, de mon avenir que je voyais ...
    ... toujours en tant qu’homme une fois mes fonctions de démonstratrice terminée. On déambula dans le quartier encore très animés malgré l’heure tardive. Ou plutôt à cause de l’heure tardive. — Tu veux venir chez moi ? Je n’habite pas loin, proposa Marion. Puis elle se pencha et chuchota à mon oreille : — J’ai envie de refaire ce qu’on faisait quand on était en coloc. — C’est vrai que je boirai bien un petit quelque chose, dis-je avec un grand sourire. Nous entrâmes dans son immeuble, montâmes à pieds les deux étages. Marion me poussa dans son appartement sans allumer les lumières. J’allai devoir attendre pour me rafraîchir le gosier. Elle passa ses bras autour de mon cou et m’embrassa, tout en marchant vers sa chambre. Elle me poussa sur le lit, remonta ma jupe et dégagea mon sexe qui se dressai déjà. Elle le suça longuement. Puis, comme elle le faisait lors de notre vie en communauté, elle m’enjamba et vint s’empaler sur ma queue. Elle retira son pull léger et me donna accès à ses seins toujours aussi doux et volumineux. Mais cette fois, du bout de mes doigts, je remarquai que ses tétons étaient ornés d’un bijou. Je ne dis rien, me contentant de jouer avec. On changea de position, puis une nouvelle fois. Nous jouîmes ensemble. Je passai la nuit avec Marion. Au petit matin, je découvrais son appartement tandis qu’elle préparait le petit déjeuner. Un appartement tout féminin avec ses bibelots, ses photos, des revues qui traînent ou des verres sales reliquat d’une soirée entre copines ...
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