1. Les gendarmes (1)


    Datte: 25/01/2018, Catégories: Transexuels

    ... j’ai l’impression de faire plus de bruit que tout un régiment. Premier étage, rien. Deuxième étages rien, mais mes talons claquent de plus en plus fort, pendant que les gendarmes lubriques matent sans aucune pudeur mes fesses. Plus qu’un étage et je suis sauvée, toutefois à ma plus grande honte deux sentiments se mélangent en moi, de la peur et de l’excitation, l’excitation de l’interdit, l’excitation de sentir le sperme sur moi, là dans ce lieu familier. Après des secondes qui me semblent des heures, je suis enfin sur le palier de ma porte, presque un peu déçue. L’un des gendarmes semble le percevoir, puisqu’il vient frotter sa bosse contre mes petites fesses et que d’une main ferme il agrippe mon entre-jambe, le malaxe, et se rapproche à nouveau de mon oreille qu’il fait frissonner de son souffle chaud. — Alors comme ça tu commences à apprécier notre compagnie finalement… écoute, on s’est déjà bien assez amusé avec toi, si tu veux, je peux te laisser passer la porte et tu ne nous reverras plus. Toutefois, tu me sembles bien excitée et je dois avouer que tu me fais grave bander, donc… je sais que tu ne peux pas parler par peur de réveiller tes voisins donc si tu es d’accord avec ma proposition, agenouille-toi et embrasse mon gland en signe de ta soumission. Mon cerveau est retourné, je ne sais plus quoi penser, je n’ai qu’un pas à faire pour m’échapper, pourtant le souffle chaud de l’homme sur mon cou fait frissonner toutes les parties de mon corps et mes fesses semblent ...
    ... happer vers son pantalon… alors que mon esprit tourbillonne je sens mon corps s’affaisser, interdite je suis maintenant agenouillée dans mon couloir, les mains toujours menottées dans le dos. L’homme m’adresse un grand sourire et sort tranquillement son sexe devant moi, d’un rapide mouvement de tête je pose un rapide baiser sur le gland à moitié mou et sentant encore le sperme de l’homme qui vient de réussir à me soumettre. D’un geste explicite il me demande d’aller plus loin, me voilà à nouveau avec le sexe du gendarme dans la bouche, mais là, contrairement à la première fellation la contrainte a laissé place à l’envie. Là, sur le carrelage froid du couloir de mon immeuble je lui taille une pipe mémorable, je le sens gémir pendant que je happe sa verge comme une friandise, alors qu’il est sur le point de craquer il se retire brusquement, me faisant perdre l’équilibre et ne pouvant pas me rattraper avec les mains je m’écrase misérablement sur le sol. Toutefois, gentleman il m’aide à me relever et à rentrer chez moi. Une fois à l’intérieur, il se décide enfin à me retirer les menottes, je souffle de soulagement, mais je n’ai pas le temps de respirer, visiblement chauffé à blanc par ma prestation Norbert vint violemment et avec passion poser ses lèvres sur les miennes, sa langue force ma bouche et vient jouer avec vigueur avec ma langue, après quelques secondes, il se retire pour venir me lécher le visage, puis il se tourne avec une grimace vers son collègue. — C’est une vraie ...
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