Les gendarmes (1)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Transexuels
... bouche pulpeuse s’active méthodiquement sur sa verge. — Grave et franchement quelle chance de tomber sur une si belle femelle, franchement si je n’avais pas vu son permis de conduire je n’aurais jamais deviné que cette pute avait une petite bite entre ses longues jambes sexy. — Voyons Nono, n’insulte pas autant cette jeune femme distinguée qui se démène avec vigueur pour m’offrir ce petit plaisir nocturne — Ha Ha, ça une jeune femme distinguée ? Regarde là, c’est une vraie chienne, elle bave partout, rigole l’homme non sans me mater avec avidité, ce qui bizarrement me fis de l’effet. A ma plus grande honte, voir Norbert commenter ma fellation m’excite au plus haut point. Ma bouche se fait dès lors plus aventureuse, n’hésitant pas à s’aventurer sur les bourses de mon amant, l’odeur du sexe de cet homme commence à me rendre folle. Mon gendarme lui aussi est en train de craquer, prit d’un spasme il attrape ma tête et l’enfonce d’un coup ferme sur sa bite, manquant de m’étouffer et me faisant baver au plus haut point. Son sexe se raidit, il décharge son flot de foutres amers au fond de ma gorge. Hélas, le gendarme ne desserre pas son étreinte sur mon visage, me forçant à avaler tout son sperme. Après quelques gémissements, il me tire les cheveux pour que je puisse le regarder dans les yeux, là il me colle une petite claque. — Merci petite pute, c’était divin… tu suces vraiment bien, tu dois en enchainer des kilomètres de bites hein ? rigole le gendarme tout en continuant à me ...
... tirer les cheveux, m’arrachant encore quelques larmes, le tout-venant finir le peu de mascara restant en place. Bon allez Norbert prépare les menottes on l’embarque. — Mais vous m’aviez promis que vous me laisseriez partir si je vous sucez… — J’ai mentis, me raille l’homme. Tu es trop chaude pour que l’on ne profite pas encore un peu de toi, en plus ton petit cul m’excite au plus haut point. Je suis en pleure, mon cauchemar continue, le gendarme me soulève par mon chignon sans me ménager ni faire attention à mes cris de douleurs et de protestations. Je me retrouve à nouveau plaquée contre la carrosserie froide de la voiture. Là, Norbert me tire violemment les bras en arrière et me passe les menottes, compressant douloureusement mes poignets. Me voilà totalement à leur merci, menottée dans le dos et en talons. Les deux gendarmes me tirent et me jettent violement à l’arrière de leur voiture, sans même prendre la peine de m’attacher. Je suis prise de panique, quelle image je vais donner au commissariat, menottée ainsi et du sperme sur la commissure des lèvres et ayant laissé quelques tâches odorantes sur mon pull en v. La voiture s’arrête, mon ravisseur me tire de celle-ci en m’agrippant fermement par le bras et me montre une clé. Je bégaye de surprise, je suis devant le hall de mon immeuble, je le regarde implorante, il rigole. D’une claque sonore sur les fesses il me force à avancer. Je tremble, mes voisins peuvent sortir à tout moment, mes talons claquent violemment sur le sol, ...