La plage (Chapitre 1) - Histoires de Sexe

La plage (Chapitre 1)

... promets que tout à l’heure, c’est dans ton vagin et dans ton cul que je vais le décharger…— Oh oui… acquiesce Béné en s’introduisant profondément le doigt dans la vulve, Tu pourras me la mettre ou tu veux, avec Pierre…— Oh putain, je vais cracher… Je vais jouir… Reprend Denis— Moi aussi, je vais jouir… Feule Bénédicte, les yeux fous. Du dard de notre ami jaillit une, puis deux et trois longues giclées de sperme qui arrosent le ventre et les cuisses de Bénédicte, alors qu’au même moment je décharge sur ses seins. J’imagine qu’elle jouit, elle aussi, mais ne puis l’assurer, au bord de l’inconscience. Nous sommes en tout cas anéantis, pétrifiés durant un long moment. Bénédicte a les yeux embués, le nez pincé. Ses tétons sont érigés comme des petites agates, son ventre parcouru de spasmes. Denis avance sa main sur l’intérieur de la cuisse de Bébé, l’ouvre d’une pression et du bout du doigt caresse sa motte, glisse le doigt dans sa fente et en ramène un échantillon de sa liqueur d’amour qu’il porte à ses lèvres. — Hummm… ! Divin… Ceci n’est qu’un apéritif à ce que je dégusterai tout à l’heure ! Promet-il. Délicatement, il saisit entre pouce et index un mamelon tendu, empaume d’une rapide caresse le sein lourd et le presse : — J’ai aussi très envie de sucer tes seins superbes… et tes gros tétons… Lui dit-il. Bénédicte frémit au contact de cette main encore inconnue et de ce tutoiement cru. Il se penche et dépose sur les lèvres de Béné un rapide baiser, puis se lève en disant : — ...

... Je crois qu’un bain s’impose… ! Il tend la main à ma compagne qui le suit, traversant le morceau de plage qui nous sépare de l’eau, couverte de notre foutre, somptueuse dans sa nudité. L’eau est froide, mais nous est salutaire. Les battements de mon cœur se calment. Béné me tend la main, approche ses lèvres des miennes et murmure avant de m’embrasser : — J’ai adoré… !— J’ai adoré aussi… Tu es belle et magnifique… J’ai envie de toi…— Moi aussi j’ai envie de faire l’amour… Me confirme-t-elle.— Veux tu que nous le gardions avec nous… ?— Oui… Et toi… ?— Bien sur… Il est charmant…— Oui, me confirme-t-elle. Il est charmant, délicat, et surtout il va pouvoir me baiser devant toi et avec toi… Mais je veux qu’il nous emmène chez lui… !— Ok… ! Lui réponds-je la gorge nouée par l’émotion. L’eau fraîche nous rend un semblant de dignité, mais je conserve une demi-érection, et je constate le même phénomène chez notre nouvel ami, qui pourtant reste discret dans ses gestes et son attitude : Un vrai gentleman. Je propose à Denis de nous conduire chez lui, et c’est avec une vraie joie qu’il acquiesce. Fébriles, nous regagnons la plage et récupérons nos affaires. Bénédicte se contente de sa robe pour masquer sa nudité. Un petit quart d’heure de marche devant nous. Denis nous accompagne, et chacun d’un côté de Bénédicte, nous lui tenons la main, au grand dam des voyeurs qui nous observent à distance. Un joli spectacle se finit pour eux, et j’imagine que les dunes sont à divers endroits couvertes ...