L'artiste, la déesse et le mortel
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... dommage... - Tu ne connaîtrais pas quelqu'un qui accepterait de poser gratos, par hasard ? - Euh... Un homme ou une femme ? - Bin pour la scène que j'ai imaginé, il faudrait que ce soit un homme... Elle me regardait intensément, droit dans les yeux, un petit sourire en coin. Je sentais qu'elle me demandait indirectement si j'accepterais. J'étais vraiment intimidé et je n'arrivais pas à soutenir son regard. Elle était vraiment très sexy et avait très confiance en elle, ce qui n'était pas mon cas. L'idée de poser nu pour elle m'excitait au plus haut point, mais je n'arrivais pas à lui répondre. Pleinement consciente de ma timidité et de mon manque de confiance, elle poursuivit : - Je te verrais bien, toi... Ça ne te dirais pas de faire ça pour moi ? - Oups... Mais je n'ai jamais fait ça moi ! Et je ne suis pas sculpté comme un danseur, tu risques d'être déçue... - Ha ha ha ! Mais je ne recherche pas un corps parfait, au contraire... Je cherche quelqu'un de «normal», avec ses perfections et ses défauts. Allez, s'il-te-plaît... Elle avait petit air suppliant, et un regard si intense. Elle savait très bien que j'étais sous son charme. Je finis par craquer et par accepter, la peur au ventre. Elle s'exclama de joie, et me remercia chaleureusement. Je trouvais qu'elle en faisait un peu trop, étonné que j'étais de lui procurer tant d'enthousiasme. Elle me donna donc son adresse, et rendez-vous au dimanche matin suivant. Ce dimanche matin, était glacial, mais très ensoleillé, un beau ...
... matin d'hiver. Je n'avais pas dormi de la nuit. J'étais terriblement excité : j'avais rendez-vous avec la belle Nathalie. Je tremblais de froid, de peur, de joie, au pied de son immeuble. J'hésitais à appuyer sur l'interphone. Je fumai une cigarette pour me donner un peu plus de courage, puis j'appelai. Je montais l'escalier sombre de ce vieil immeuble du centre-ville, jusqu'au dernier étage, une érection se faisant sentir, irrésistible. Je toquai à sa porte, sentant mes joues s'empourprer. Elle m'ouvrit, l'air tout juste réveillée, pieds nus, vêtue avec ce qui ressemblait à un pyjama en coton, très moulant. Du coin de l'œil, essayant de ne pas être indiscret, je remarquai qu'elle avait une poitrine plutôt généreuse et qu'elle n'avait pas de sous-vêtements. Elle était absolument sexy, et n'avait pas l'air d'être trop préoccupée par la pudeur. Comme si elle avait remarqué que mon regard était attiré par son corps, elle me fit chaleureusement la bise, puis s'expliqua : - Je suis désolée, je sors du lit ! Hier on a fait la fête avec les potes des Beaux-Arts, et je me suis couchée à moitié saoule... C'est dur dur ce matin ! Mais viens, entre, je vais faire un café. - Il n'y a pas de problème, prend ton temps... Je ne suis pas non plus très bien réveillé. - Tu as fait la fête toi aussi ? - Non, non.. Je n'ai pas très bien dormi. - J'espère que ce n'est à cause de moi !? - Euh... En fait un peu. Je suis plutôt angoissé, par l'idée de... - Hi hi hi ! Détend-toi ! Ne t'inquiète pas, ...