1. Soirée chez Alban: je deviens Alexandra


    Datte: 29/01/2018, Catégories: hh, hhh, couleurs, grossexe, hépilé, piscine, Oral pénétratio, hdanus, hsodo,

    ... petit cul de Blanc ? Tu aimes te faire enculer par une belle bite d’Africain, n’est-ce pas ma salope ?— Oui j’aime ça, continue, défonce-moi le cul avec ta grosse queue ! Vas-y, je suis ta femelle, encule moi à fond, j’aime ta bite. Il accélère ses va-et-vient. Il me bourre le cul depuis au moins vingt minutes. Je couine de plus en plus fort, mon cul me chauffe ardemment, le plaisir né au creux de mon ventre s’amplifie de plus en plus ; maintenant je crie : — Vas-y, mon mâle, bourrique moi à fond ! Continue, ne t’arrête pas, tu vas me faire jouir. Alban, à l’affût de mon extase proche, accélère encore le mouvement ; il transpire à grosses gouttes. Mes bras se nouent autour de son cou, je bois sa sueur, je le lèche, je l’embrasse. Mes jambes sont maintenant autour de ses reins, je ne sais plus où je suis. Ce type me rend fou ! Ma tête dodeline d’un côté à l’autre, je perds le contrôle de moi-même. Encore quelques coups de reins dans mon cul dégoulinant et j’explose. Le plaisir me fauche dans un formidable jaillissement d’étincelles m’envahissant la tête. — Oh ouiiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiis ! Je perds connaissance. ________________________ Le baiser d’Alban me fait revenir à moi. Il ne dit rien mais me regarde intensément. Il doit être étonné que je puisse jouir du cul aussi fort. Je le suis aussi ; cela fait plusieurs années que je n’ai pas joui comme cela. — Tu es absolument surprenante, mon Alexandra ; tu jouis plus fort qu’une femme ! Je suis fier de posséder une ...
    ... femelle comme toi. Alban est toujours en moi et n’a pas joui. Il sort sa belle queue de mon ventre et s’allonge à côté de moi. — Viens me sucer. Je prends sa belle bite toute gluante de ma mouille et la lui nettoie en lapant par petits coups de langue, principalement sur le gland. Il frémit. Je le prends en bouche et m’active à le sucer et le faisant pénétrer le plus loin possible dans ma gorge. Mes mains se sont saisies de ses couilles que je malaxe énergiquement. Il pousse un gémissement, il aime. J’enserre son paquet entre le pouce et l’index juste au-dessus des testicules et tire légèrement vers le bas. Il aime toujours. Je continue à le pomper avec délice ; son souffle devient plus rapide. Il est au bord de l’explosion. — Alban, prends-moi encore, j’ai envie de ta bite. Il abandonne ma bouche, me retourne sur le ventre, écarte mes jambes, me met un coussin sous le ventre pour bien faire saillir mes fesses, et sans autre préparatif me plante sa queue jusqu’à la garde dans mon cul encore entrouvert. — Ouiiiiiii ! C’est bon ! Ramone-moi bien à fond ! Alban pense maintenant à son plaisir. Il me bourre énergiquement, presque violemment. J’aime ça. Il me tire les hanches et me met à quatre pattes. Il me prend en levrette comme une chienne. La position me permet de voir à quelques mètres Bernard à peine dissimulé derrière un arbuste : il se branle en me fixant. Il largue sa purée qui s’écrase sur l’arbuste et dégouline sur les feuilles de branche en branche. Il a lâché une belle ...
«12...91011...»