Soirée chez Alban: je deviens Alexandra
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
hh,
hhh,
couleurs,
grossexe,
hépilé,
piscine,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
... quantité, le salaud ! — Prends ça, femelle blanche, et encore ça ! Alexandra, ma salope… Tu aimes ça, te faire prendre virilement par un mâle bien monté, n’est ce pas ?— Ouiiiii ! Alban, démonte-moi le cul, je suis ta salope et j’aime la bite.— Alors tu vas en avoir, ma pute ; tu vas prendre des kilomètres de bites dans le cul et tu vas avaler des litres de foutre.— Ouiiiii ! Je suis à toi. Ce langage n’est pas pour me déplaire et nous excite fortement. Je sens la queue de mon mâle se raidir de plus en plus ; il va exploser dans mon cul. — Prends ça, femelle ! Je vais t’engrosser. Un dernier violent coup de reins et il me décharge quatre longues giclées de foutre dans le ventre et m’inonde le boyau. Il s’écroule sur moi de tout son poids. Il m’écrase, il me domine. Je suis comblé dans tous les sens du terme. — Merci, Alban, tu m’as rendu très heureux.— Tu peux aussi dire « heureuse » : tu es une femelle, Alexandra. Il se fait tard maintenant : tu restes avec moi pour la nuit. Je n’ai pas fini de m’occuper de ton cul.— Il est à toi. Nous rentrons, et Alban m’emmène à ma chambre, m’indique la douche qui est à côté et la clochette posée sur une table de nuit. Si j’ai besoin de quelque chose, je n’ai qu’à sonner et Bernard arrivera. Il a reçu consigne de me servir comme si c’était Alban. Je fais le tour de la chambre très confortable. Quelque chose me manque : ce sont mes vêtements, je suis toujours nu. Je prends une douche fraîche et me nettoie de fond en comble ; pour moi, ce ...
... soir ce sera plutôt le fond car mon cul dégouline encore. Je me couche et m’endors aussitôt, très fatigué mais heureux. ________________________ Je dormais profondément quand Alban me rejoint dans mon lit. Il me réveille en m’embrassant dans le cou et en collant sa bite contre mes fesses. Il me caresse partout, surtout mes fesses et mes tétons. Je m’abandonne et repars vers la volupté. Il se fait insistant, je sens qu’il veut me prendre. Sa queue glisse entre mes fesses, mon anneau s’ouvre, Alban le lubrifie avec sa salive puis avec du gel pris dans la table de nuit. Je suis sur le côté, lui aussi derrière moi ; il guide sa bite à l’entrée de mon trou, me prend par les épaules et me bascule sur le ventre en m’enfonçant son pieu dans ma chatte de femelle encore en chaleur. — Oh oui ! C’est bon. Baise-moi bien. Il m’a planté jusqu’à la garde et me défonce activement et virilement ; pas de fioritures : il me prend comme une femelle, un trou à bites. Il me le dit d’ailleurs. Il me lime comme ça pendant près de trente minutes. Je couine de plus en plus fort. Je halète. Je gémis ; je crie, maintenant. Pour la seconde fois il est en train de me faire jouir du cul. Mon organisme, en phase avec mon enculeur au gros calibre, lâche de plus en plus de mouille pour lubrifier le gros piston qui coulisse dans ma turbine à chocolat. Il m’emmène vers les sommets du plaisir ; l’orgasme est là : il envahit mon cul, mon ventre, ma tête. Je suis animé de tremblements, de soubresauts. Tout mon être ...