Police polissonne (13) - Histoires de Sexe

Police polissonne (13)

... nombril, tu auras un clou médical en attendant que tu aies le véritable. — Ah ouiii…C’est Monsieur le Président qui me … — Qui, quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire …? — Euh…Je… Sauvée sur le gong, la porte de la chambre s’ouvre ; le toubib et Sophie entrent. — Nous n’avons pas été trop longs au moins ? s’exclame Pierre. — Non, Ah ! Je vois que tu as des réserves ; mon salaud ! — Qu’est-ce que tu crois, et il faut avoir des remontants ; surtout dans des cas comme celui-là ! répond le toubib en riant. — Allez sers-nous à boire, et tu penses que la petite ait le droit à l’alcool ? dit Marc en s’adressant à Pierre (le toubib) et en désignant Sonia. — Oui, on va faire une exception ; mais pas trop… — Non mais ça va, j’suis plus une gamine… Ils trinquent joyeusement au mousseux, ils souhaitent à Sonia un prompt rétablissement et de réussir dans sa nouvelle vie. Un toast scelle une amitié naissante qui va petit à petit permettre à Sonia de faire son trou et de se sentir bien dans cette unité, et qui viendra doucement remplacer sa famille disloquée par le malheur. La bouteille et les petits gâteaux terminés Marc et Pierre prennent congé en disant. — Bien, Sophie tu t’occuperas d’elle car je ne peux pas venir que demain matin. Tu lui referas son pansement à la tête et au dos ce soir et demain. À la moindre alerte, tu m’appelles. Marc quand doit-elle rejoindre le centre d’entraînement de Sissonne ? — En principe …nous sommes samedi…On avait prévu lundi mais on peut peut-être reculer ...

... de quelques jours s’il le faut. — Bien nous verrons car il faudra que son tatouage soit fait et que la douleur soit retombée, répond le toubib. — Oui, mais si elle doit rester consignée ici, ce sera sous bonne garde, dit Marc. — Je sais et j’en suis conscient. — Quoi, bonne garde, mais je ne vais pas me barrer d’autant plus que je n’ai rien à me mettre ; j’ai plus de fringues. — C’est pour toi, car je connais bien les malfrats. Ton mec il va chercher à savoir où le corps de Noémie est, afin d’éventuellement l’enlever pour essayer de savoir qui a bien pu la tuer. — Ah, mais c’est flippant ! — Mais qu’est-ce que tu crois, tu ne joues plus dans la cour de récréation de ton école. Il va chercher à trouver d’éventuels témoins du meurtre qu’il a commis. Cette histoire risque de faire des dégâts, on ne sait pas s’il ne fait pas parti de la maffia ou de la pègre ; ces gens la sont sans pitié. Il va y avoir des règlements de compte et sans doute des morts. — Mais je ne veux pas ça ! — Mais mon petit, tu n’as plus le choix maintenant c’est eux, ou toi ; alors tu choisis quoi ? — Moi… — On est bien d’accord. Donc tu vas te battre pour réussir tes formations et après tu rentreras dans mon service, nous ferons équipe ensemble. — C’est vrai, dit-elle en lui sautant au cou. La grabataire s’ouvre et Sonia se retrouve le dos et les fesses à l’air, adepte de l’exhibitionnisme cette situation ne la gêne en rien ; elle y prend même un certain plaisir, preuve qu’elle va mieux. Ce qui la rebooste ...