1. Police polissonne (13)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... c’est ce que vient de lui dire Marc ; son seul but est d’avancer. Après avoir embrassé les deux filles, ils quittent la chambre en leur faisant un « ciao ! » avec un accent bien marseillais et une main levée. — Eh bien dis donc t’es une sacrée gonzesse, toi ! s’exclame Sophie. Tu vas me raconter tout ça. — D’accord, mais tu aurais encore un peu de mousseux ? — Il n’y en a plus, les mecs ont tout bu ; si tu me promets de ne pas faire de connerie et de rester ici je vais aller en chercher. — Promis, je serais sage comme une image. — Je vais voir ça, alors je te laisse. Sophie laisse Sonia seule dans la chambre. — Yes, yes, yes ! Putain je vais y arriver ! Maman, tu as vu … Je vais devenir flic et à la BS ; tu vas voir, on va faire du bon boulot toutes les deux ! Ce cri venu du plus profond d’elle, la libère du fardeau qui pesait encore sur elle. Enfin libre, elle laisse éclater sa joie, son cœur bât très vite, une brusque montée d’adrénaline et sa vulve s’humidifie. Une brutale envie de sexe la frappe comme une torpille, et déclenche tout un tas de contraction ; son ventre se crispe et lui faire mal. Dans l’urgence, elle ôte cette sorte de blouse qui la gène et s’allonge sur le lit. Elle se plante les doigts dans son vagin, tire sur ses petites et grandes lèvres, masse sa vulve avec frénésie, la frappe et y enfonce ses doigts. Elle se branle et l’orgasme arrive d’un coup, si puissant qu’elle se tord sur le lit ; puis il repart aussi vite qu’il est arrivé. Essoufflée, elle se ...
    ... laisse aller et se caresse tout le corps. Les yeux plantés sur l’écran, elle regarde sans voir le reportage sur l’assassinat de Noémie ; il l’agace, elle éteint la télé. Dans le silence tout à coup presque pesant, les yeux clos, le corps immobile et les sens au repos ; elle attend. Sophie entre et cette fois avec un chariot de soins. — Ça va Sonia ? — Oui, je réfléchissais à tout ça… — Ah oui, je comprends… Écoute : Le temps que je m’occupe de tes pansements, le service va se vider et nous ne serons plus que toutes les deux. Et si ça te tente, nous pourrions nous amuser un peu. — Oh oui alors, tu aimes faire ça entre filles ? — Non, qu’avec… Assieds-toi, je vais m’occuper de ta tête. Elle actionne la commande électrique du lit et Sonia se retrouve en position assise. Sophie, les genoux en appui sur le bord du lit s’affaire. La blouse dilatée par une poitrine généreuse attire l’œil de Sonia qui lorgne par l’échancrure l’entre-deux-seins de l’infirmière. Elle a envie de les toucher, mais il y a mieux ; plus à porté de mains : l’entrejambe ! Elle y infiltre ses doigts et rencontre des lèvres longues et généreuses, un peu pendantes et découvre sur une, un anneau. Au toucher il est fin et transperce la grande lèvre de droite. La main de Sonia s’arrête net, comme pétrifiée par cette découverte. Alors elle joue avec, passe son petit doigt dans l’anneau et tire un peu dessus en lèvant son regard vers Sophie qui lui dit : — Tu aimes ? — Oui, beaucoup. — Alors regarde. Aussitôt Sonia ...
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