1. 51.5 Le bel étalon et le puissant jeune taureau


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... n’a d’égal que dans l’intensité de l’épuisement qu’elle laisse derrière elle… je me sens extenué, vidé de toute énergie… je suis comme hébété… je ne sais plus où j’habite… Enfin, si… je suis toujours enlacé dans ses bras puissants, embroché sur sa queue raide et chaude, sa barbe désormais abandonnée dans le creux de mon cou, ses lèvres s’abandonnant à des baisers légers sur ma peau… Je réalise tout juste que je viens encore de prendre une nouvelle fois la double jouissance des deux jeunes mâles… et que je viens de jouir par la volonté de l’un d’entre eux… Je suis épuisé mais je me sens bien… je sais que à cet instant, après la baise avec deux mecs, je pourrais me sentir mal à l'aise, sale… il n’en est rien… bien sûr, l’effet du tarpé persiste… mais il y a plus que ça… le fait est que Thibault a su rendre ces moments divins… car, définitivement, tout autour de lui est simple et beau … Cette dernière branlette qu’il vient de m’offrir est un beau geste de sa part, un geste qui me montre qu’il est toujours dans le partage, dans le respect… qu’il pense à moi, à mon plaisir… Je reste un bon moment dans ses bras… petit à petit, je sens sa queue perdre de vigueur… je sens ses bisous se faire de plus en plus espacés… j’ai l’impression que le bomécano est en train de partir, que l’heure du repos du guerrier est arrivée… Moi aussi, je me sens partir… je commence à dériver dans ce no man’s land entre veille et sommeil, je glisse sur cette pente savonneuse entre deux mondes, je me sens ...
    ... entraîné dans une direction qui devient vite la seule possible pour mon esprit engourdi… c’est la direction du pays du « Faire dodo »… Je me sens partir, mais un mouvement du torse du bomécano me secoue de ma torpeur… un instant plus tard, ses mains me décalent doucement vers l’avant, alors que ses lèvres me chuchotent : « Excuse-moi »… « Ça va… » je lui réponds, à moitié abruti. Son torse s’éloigne de mon dos, je perds le contact magique avec cette chaleur douce… ses jambes, ses cuisses glissent le long des miennes… je n’ai pas envie qu’il parte… c’est pourquoi j’ai ce geste, presque désespéré, comme pour le retenir… je saisis sa cheville, j’arrête le mouvement de retrait de son corps… son genou est à portée de mes lèvres… je pose un bisou dessus… Le bomécano me surprend une fois de plus… ses mains attrapent mes épaules, m’attirent à lui… ses lèvres posent un nouveau chapelet de bisous dans mon cou… adorable Thibault... Puis, le bogoss reprend son mouvement de retrait… il quitte le matelas, le lit… je le regarde traverser le petit séjour dans sa nudité parfaite et assumée, je le regarde disparaître dans la salle de bain… Presque au même instant, le bobrun se met à remuer dans son sommeil… une expiration un peu bruyante, des petits mouvements nerveux secouent tout son corps… pendant un instant, je me dis que le bogoss va se réveiller… Mais il en est rien… à la fin de son petit remue-ménage inconscient, Jérém se retrouve allongé à plat ventre, le visage tourné vers moi… Il est ...
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