Business à Barcelone - 2 / 7
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
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Collègues / Travail
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... machiavélique… Je préfère largement vous avoir comme alliée que comme adversaire !— Je ne fais que mon travail, François.— En tous cas vous avez bien mérité une récompense : cette nuit je vous laisse dormir !— François, vous êtes vraiment trop bon avec moi, répondit-elle avec un clin d’œil et un sourire malicieux, lui faisant comprendre qu’elle avait bien saisi tout l’humour et l’ironie dans l’octroi de sa « récompense »…— Je sais, ma bonté me perdra… répliqua-t-il avec le même clin d’œil. Allez, demain jeudi, dernière ligne droite de vrai travail, pour que vendredi matin nous ayons juste à parapher et signer les contrats !— Vous pouvez compter sur moi ! Isabelle eut malgré tout du mal à trouver le sommeil cette nuit-là. L’excitation de la victoire toute proche, combinée à l’adrénaline qui lui permettait de tenir le choc depuis lundi, sans doute. Et puis, elle devait bien se l’avouer, la tension sexuelle inassouvie qui peu à peu montait en puissance entre François et elle. Oui, bien sûr, elle le savait, ça allait à l’encontre de tous ses principes et ses convictions, que de convoiter un homme marié. Mais c’était plus fort qu’elle. Et puis on parlait de son futur mari tout de même, il méritait bien qu’elle se batte pour lui ! À peine avait-elle eu ces pensées qu’elle réalisait sa folie. Mon Dieu, ce n’est pas possible, je ne peux pas penser ça… Mais l’instant d’après elle lui cherchait des excuses : François était un homme seul et délaissé par son épouse. C’est pour cela ...
... qu’il s’autorisait des relations extra-conjugales. Elle ne le mérite pas, non, il lui faut quelqu’un de mieux. Et cette quelqu’un, c’est moi. Moi et personne d’autre… Depuis son lit où elle était allongée nue sous les draps, elle zappait d’une chaîne à l’autre et finit par retomber sur la chaîne pour adultes. Elle laissa ses mains s’égarer sur son corps, mais contrairement à cet après-midi, elle prit tout son temps… Une main, légère, effleurant ses petits seins galbés et aux tétons si sensibles. L’autre main descendait de son cou vers son ventre puis ses cuisses, avant de remonter jusqu’à atteindre son intimité…Oh, si seulement ces mains pouvaient être celles de François, pensait-elle alors que son cœur accélérait et que son souffle se faisait court. Elle poursuivit son manège sans se presser, savourant chaque effleurement, chaque frôlement, laissant progressivement son ventre devenir délicieusement tendu. Comme c’était bon la façon dont le désir s’emparait de son corps… N’y tenant plus, elle laissa son majeur plonger sans effort dans son intimité chaude et mouillée, sans rencontrer la moindre résistance. Un soupir s’échappa de ses lèvres. Son autre main se chargea de faire rouler ses tétons entre le pouce et l’index. Les gémissements succédèrent alors aux soupirs, tandis que ses hanches se mirent à onduler, accentuant les pressions de la main qui s’activait entre ses cuisses. C’est ainsi, en massant son bouton de plaisir avec sa paume, qu’elle s’abandonna à une jouissance ...