1. Business à Barcelone - 2 / 7


    Datte: 29/01/2018, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, Collègues / Travail hotel, voyage, cérébral, vidéox, Masturbation nopéné, portrait,

    ... pas osé envoyer au Directeur commercial un message comme celui-là, qui pouvait prêter à interprétation. Mais elle se sentait maintenant suffisamment en confiance pour se permettre ce clin d’œil. Et puis… n’avait-elle pas envie, quelque part, de donner un petit coup de pouce au destin ? Isabelle avait besoin de calmer ses ardeurs avant l’arrivée de François, faute de quoi elle risquait de ne plus pouvoir dissimuler son trouble. S’emparant de la télécommande de la télé, elle zappa à la recherche des chaînes pour adultes… Sans réfléchir, elle pressa sur « OK » lorsqu’on lui demanda de confirmer son choix et se trouva face à un film érotique des plus suggestifs. Le désir l’envahissait et les yeux rivés sur l’écran elle ne tarda pas à glisser sa main sous sa jupe, puis écarta sa lingerie fine pour offrir à son clito une stimulation rapide et compulsive. L’orgasme arriva rapidement, faisant détendre son corps et son stress.Ça c’était du quick sex, pensa-t-elle rêveuse… mais c’était suffisant pour lui permettre de continuer à bosser. On sonna à la porte. Intriguée, Isabelle alla ouvrir : ce ne pouvait pas encore être François, c’était trop tôt… En fait ce n’était que le service d’étage. La même stagiaire aux cheveux roses que la veille livrait un très joli bouquet de fleurs et une petite boîte de chocolats d’un artisan catalan. Encore une petite attention de François à son égard. Décidément cet homme avait du savoir-vivre, ce qui ne fit qu’approfondir la dissonance cognitive dans ...
    ... laquelle Isabelle se trouvait plongée. Isabelle hésita un instant et finalement elle choisit d’écouter son âme damnée et de faire entrer la jeune fille. La stagiaire entra, déposa les cadeaux sur le lit, faisant semblant de ne pas voir l’écran de télévision ni d’entendre les gémissements qui en provenaient, ni de sentir le parfum de stupre qui flottait dans l’air. Isabelle put toutefois voir distinctement le rouge de ses joues… Avec un sourire de prédatrice carnassière, elle la remercia en lui donnant un petit billet de 10 euros, qu’elle s’empressa d’empocher avant de sortir sans dire un mot. Lorsque François revint de son « tour de manège », Isabelle le remercia pour les fleurs et les chocolats et lui fit part de sa toute dernière découverte : — Tout à l’heure, lors de la discussion autour de la clause 42, le client semblait assez intransigeant au sujet de la propriété intellectuelle des données. Je crois qu’il pense que sa rédaction de la clause le protège. Mais en fait il se base sur une mauvaise traduction de la Directive. En consultant la version originale, j’ai vu qu’en réalité, nous sommes couverts.— Oui… Et donc, que conseillez-vous ?— Je vous conseille de lâcher du lest sur ce sujet et de faire semblant de céder. Ça nous aidera à faire passer nos autres demandes, car il pensera qu’il sera gagnant au global. Alors qu’en réalité ce sera le contraire. Oh, il s’en rendra compte un jour sans doute, mais après la signature, et il sera alors trop tard.— Isabelle, vous êtes ...
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