Passage à l heure d hivers ....
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... endroit pendant une pause boulot : prendre l’air entre deux rendez-vous n’est pas un péché ! M’y balader dans le noir donnerait forcément un autre sentiment ! L’adrénaline que j’aime tant me donner !... Je ne résiste pas au désir de m’offrir ce frisson avant de rentrer à la maison pour une longue soirée solitaire. Je m‘engage donc dans la rue donnant sur le petit parking de cailloux que je connais. Dès l’arrêt du moteur l’ambiance lugubre du coin me donne des palpitations. Aucun éclairage public à moins de deux cents mètres, là où se trouvent les derniers pavillons. Le parking est désert, mis à part une vielle Polo garée dans un petit renfoncement en lisière du site. Je descends de voiture doucement scrutant vers cette voiture à priori vide. La nuit est profonde, il me faut un moment pour que mes yeux s’habituent à cette obscurité quasi complète. Heureusement que je connais les lieux, car il fait si noir que je n’aurais pas retrouvé le petit chemin entre les buissons qui s'engouffre dans la partie boisée ou je me baladais parfois. Je respire à plein poumons et prenant mon courage à deux mains je m’engage dans ce chemin bien plus lugubre de nuit que ce que je connaissais. Il me faut quelques minutes encore pour me sentir un peu mieux, pour évacuer une partie de cette crainte que l’on peut avoir lorsque l’on se met dans de telles situations ! Je sais, certains diront que je devais être folle pour me rendre seule dans un pareil endroit, mais c’est justement le côté excitant ...
... de la chose, se balader sur un chemin de cailloux au milieu de la nature en pleine obscurité me procure de tels frissons ! Une force invisible m’a toujours poussée dans ce sens... Dans ma petite robe sexy laissant passer une certaine fraîcheur, la douceur du tissu effleurant mon corps, très vite je me suis franchement régalée, seule au milieu de nulle part dans la profondeur obscure d’un bois... Une fois bien avancée et plus relaxée, je me prenais au jeu, m’amusant à remonter ma robe sur mes jambes. La fraîcheur de l air ,la douceur du tissu, mon plaisir était palpable ne serait-ce que par mes seins que je sentais douloureux et durcis. J’ai marché ainsi 20 minutes, m’arrêtant ci et là à l’affût du moindre craquement de branche ou de la moindre ombre que j’aurais pu entrevoir en mouvement. Seule au monde, je ne pouvais m’empêcher de me presser le bas-ventre ou me palper un sein. J’oserais dire que si un bel homme avait été là, désireux de me soulager, je n’aurais pas refusé. Je rejoignis la voiture doucement, me souciant de moins en moins de ce qui m’entourait, plongée dans mon petit monde de douceur. Il était temps de rentrer et me soulager une bonne fois pour toute, afin d’évacuer toutes ces tensions accumulé depuis le début de journée. En sortant du chemin sur le parking, celui-ci me paraissait moins sombre. Certainement le fait d’être depuis de longues minutes dans une obscurité totale ; la robe remontée haut sur mes hanches, je regardais mes jambes, me trouvant de beaux ...