1. Passage à l heure d hivers ....


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... me retrouver pratiquement couchée sur la console centrale... Il m’avait accompagnée, les avant-bras en appui sur les deux sièges repliés, me sentant mal installée, il a saisi son blouson sur l'avant du siège passager et me l’a glissé sous les épaules, avant de redescendre sur mon corps dans une multitude de baisers. J’étais bien, je ne bougeais pas à la recherche d’un énième souffle. Je devais avoir la position idéale à ses yeux. Il m’a alors saisi les cuisses me relevant les fesses. J’avais les coudes en appui sur les assises avant et d’un coup, alors qu'il cherchait la bonne position, le siège conducteur a reculé. Mon réflexe a été de baisser les jambes comme pour me rattraper. Oh ! Miracle ! Mon mollet droit s’est posé sur le haut du siège, blotti contre l’appui-tête. Le bougre a vite compris, me demandant de reculer l’autre siège. Je me suis exécutée avec peine, vu ma position, mais une fois en place, j’étais bien calée, les mollets bien reposés sur le haut des sièges avant. À genoux face à mon intimité grande ouverte, il cherchait à se positionner au mieux tandis que je me sentais on ne peut plus offerte ! Comment décrire ce que j’ai ressenti lorsque j’ai senti sa grosse queue m’écarter les lèvres doucement et gagner centimètre par centimètre. Lorsqu’avant cela, ses mains puissantes m'ont saisi les hanches, je savais évidement qu’il allait me prendre et même, je n’attendais que cela ! Mais un tel sentiment de force, de puissance, cette queue qui avançait en moi, ...
    ... pendant que respiration bloquée, yeux clos, j’appréciais cette intrusion au plus haut point. Après quelques mouvements de mise en position, lorsque j’ai senti mon corps entier coulisser dans ma robe, le bas du dos sur l’accoudoir, aller et venir sur le tissu glissant. J’étais repoussée, rejetée vers l’avant par ses coups de reins, je gémissais de plaisir à chaque fois qu’il venait buter au plus profond de mes entrailles ! Le rythme s’est accéléré doucement, seins sortis, je me suis mise à me palper tout en me laissant coulisser sur sa bite qui me rendait folle. J’ai hurlé, crié sous les jouissances qui se sont succédées durant dix minutes sans relâche. Bien maintenue, il me plantait sur sa queue et me repoussait à grands coups de reins. Il accélérait le rythme, ralentissait, se faisait doux, puis violent, soufflait le chaud et le froid, m’entraînant dans un plaisir inouï ! Bouche ouverte, yeux mi-clos, j’avais les tempes bourdonnantes et le peu que j’ouvrais les yeux tout en me mordant la main, le plafond allait et venait, les vitres perlaient de condensation, une boule de chaleur se promenait dans mon ventre et je la sentais grossir et me brûler chaque minute un peu plus ! Bien calé au fond, le type me maintenait les fesses ouvertes, les mains m’écartant bien et maintenait ses allers retours gigantesques ! Par deux fois, j’ai crié « Oh mon Dieu ». Il m’a alors demandé si j’allais jouir, sans doute sans imaginer un instant que cet orgasme approchant était sans doute le clou de ma ...