Une soirée chaude
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
fhh,
2couples,
Oral
Partouze / Groupe
... maintenant dans la philosophie de notre club, j’en suis heureuse. Orianne retourne de l’autre côté du bar. Marie aperçoit Philippe, son visage s’éclaire, il s’assoit sur le siège attenant. Le jeune noir vient de remonter après une longue douche, elle le hèle et lui offre un verre. — Un jus de fruits, je ne bois pas d’alcool— Musulman ?— Non, non, je n’aime pas l’alcool.— Comment t’appelles-tu ?— Albert, je viens du Cameroun pour les études. Je suis en IUT mécanique à la Martinière. Il se retourne vers Orianne — Je vous remercie madame.— Pourquoi, dites-vous cela, demande l’intéressée ?— Eh bien, parce que, j’ai déjà essayé d’entrer dans des boîtes identiques et je n’ai pas pu entrer, à cause de ma couleur, sans doute.— Ici, la couleur de peau, la religion ou tout autre particularité, n’entre pas dans nos critères d’exclusion, il suffit que vous soyez bien élevé et respectueux des autres et vous serez toujours bienvenu. Au fait, quel est votre âge ?— 22 ans Marie fronce les sourcils — Tu es bien jeune pour fréquenter des lieux comme cela, et j’ai même l’impression que tu n’as pas beaucoup d’expériences. Je me trompe ? Albert baisse les yeux comme un enfant prix les mains dans un pot de confiture. — Depuis que je suis en France, je remarque que tous mes copains racontent leurs expériences sexuelles, alors je me suis dit que j’aurai une chance ici d’acquérir de l’expérience Orianne sourit et se rapproche du jeune homme. — Alors, comme ça, vous êtes venu vous faire dépuceler ...
... dans mon établissement, ce n’est pas une mauvaise idée finalement, à une certaine époque, les jeunes hommes rencontraient des prostitués. Au moins, cela va te permettre de partir sur des bases sérieuses, à condition de trouver les bonnes personnes. Allons autour d’une table, nous serons mieux pour parler. Elle se dirige vers les sofas, Albert hésite, Marie invite Philippe à suivre le mouvement, il obéit sagement. La conversation s’engage, entre Orianne et Albert, Philippe et Marie suivent entrecoupant de temps en temps la causerie. Philippe, en face de Marie, s’est rapproché et sa main frôle le mollet et remonte doucement vers le genou, elle feint l’intrusion et garde les jambes serrées. Orianne, assise à côté, a écarté les jambes, au maximum que lui accorde sa robe, le ventre nu qu’elle offre perturbe le jeune homme, il ne peut s’empêcher de porter sa vision sur la fente qui apparaît sous la lumière tamisée. Alors qu’elle répond à une question de Philippe, elle s’interrompt : — Il te plaît, mon minou ? Malgré sa peau noire, ses joues se teintent d’une couleur pourpre, il bafouille une réponse peu convaincante, elle rit, remonte sa robe et écarte franchement les jambes, la petite fente auparavant, si sage, s’écarte découvrant un intérieur rose et légèrement brillant. — Tu peux toucher, elle ne griffe pas, mais attention, elle est fragile et aime la douceur si tu veux l’apprivoiser. Albert s’installe à genoux devant le compas offert et ses longs doigts effleurent l’intérieur des ...