Une soirée chaude - Histoires de Sexe

Une soirée chaude

... cuisses, puis le majeur explore la fente ouverte et s’attarde sur le clitoris, comme lui avait montré Marie. Orianne resserre doucement les jambes. — C’est très bon, mais tu vas trop vite. Elle écarte de nouveau l’entrejambe. — Le clitoris est le dernier lieu que tu dois explorer, l’endroit est très sensible et souvent c’est par là que tu déclenches un orgasme. Tu ne veux pas que je jouisse tout de suite.— Non, Madame.— Orianne, s’il te plaît, je ne suis pas si vieille que ça ! Son doigt reprend le chemin du ventre ouvert, mais son indécision exaspère Orianne. — Bon dieu, mais tu n’as jamais vu une chatte de ta vie, tu ne regardes jamais de film porno !— Si, bien sûr, mais en vrai ce n’est pas la même chose. Elle agrippe le poignet, elle le sent complètement crispé, dirige son doigt et le plonge au fond de son ventre. Elle imprime un lent mouvement et abandonne la main, il continue sur le même rythme. Orianne renverse sa tête sur le sofa et ferme les yeux. L’inexpérience du jeune homme l’excite plus que le long doigt qui la fouille sans conviction, mais passé le cap de la nouveauté, elle se rend compte que cela ne donne rien. Elle se redresse expulsant le doigt. À côté l’ambiance a beaucoup évolué. — Regarde Albert, regarde comment Marie respire. Philippe s’occupe de sa petite chatte, ces deux doigts enfoncés bien au fond de son ventre, il ne bouge pas en apparence, mais je suis sûr qu’ils ne sont pas inactifs, il explore toute la cavité et sa langue joue avec son clitoris, ...

... regarde à chaque fois qu’il l’effleure, elle se cabre et geint.— Elle va jouir ?— Je ne pense pas, Philippe a d’autres projets pour elle, il bande bien déjà, non il est juste en train de la rendre folle, jusqu’à ce qu’elle rende grâce et lui demande de la pénétrer. Il te reste beaucoup à apprendre, n’hésite pas à observer tes aînés, surtout quand ils font si bien l’amour…— Oh ! La petite coquine, elle désire une autre panoplie de plaisirs. Marie s’est déchaussée et pose ses pieds sur les épaules de son chevalier, ce qui provoque un basculement vers l’avant de son bassin, offrant une invitation claire pour Philippe. Il dégage ses doigts du vagin de sa compagne, écarte les fesses et dévoile un œillet brun brillant. Sa langue pointue touche la petite fleur plissée, elle lâche un « oh oui ! » dans un soupir. — En plus, elle mouille ce qui n’est pas mon cas. Mais elle copie la position d’à côté, il n’a pas besoin de lui écarter les fesses. La vision embrase Albert qui dirige directement sa langue sur l’anus. Surprise par cet élan fougueux, elle pose ses mains sur la tête de son amant et exhale un long feulement. Après plusieurs minutes d’un anulingus fougueux, elle se sépare doucement, le souffle court. — Viens maintenant, laissons-les, nous allons passer aux travaux pratiques, si tu veux une bonne note, il va falloir que tu me fasses jouir au moins deux fois. Je suis certaine que tu peux. Peut-être qu’ils nous rejoindront tout à l’heure. Ils descendent ensemble les degrés sous le ...