1. Mensonge et trahison


    Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, amour, 69, pénétratio, fsodo,

    ... retenir et se déverse dans la bouche accueillante. Simultanément les jambes se crispent, serrant les doigts prisonniers. Ils se sont levés et ensemble cette fois, sont allés se doucher. Serrés dans l’étroite cabine, ils se sont souri. — Je n’avais jamais été jusque-là, c’est une expérience intéressante pour une vieille comme moi.— Tais-toi, on aurait cru une professionnelle, lui répond-il en riant. Il se rhabille, l’embrasse et part lui disant « merci ». Elle ne l’a pas retenu, désirant rester seule, retrouver son calme. Rien dans leur attitude ne laisse apparaître ce qui s’est passé la veille. Toujours respectueuse, Christine est là pour la réunion du matin. Elodie admire le calme dont fait preuve Pascal. Il m’a vue toute nue, m’a touchée, et même caressée, c’était tellement agréable quand il me frictionnait. Est-il insensible à mon corps ou tout simplement craint-il les conséquences dans le travail ? Dans le bureau, tout le monde a appris les relations existant entre Pascal et le père d’Elodie et plus personne ne s’étonne de sa sollicitude envers elle. Parfois, Pascal ramène les deux femmes, et à chaque fois s’attarde longuement chez sa secrétaire. Mais jamais ne découche. Dans l’intimité, ils sont comme un vieux couple. Elle a saisi les intentions de Pascal, l’engage à inviter Elodie, s’il veut la séduire. Il décide d’écouter ses conseils. — Mademoiselle, lorsque vous rentrez chez vous, transmettez toutes mes amitiés à vos parents.— Pas ce dimanche, je reste ici.— ...
    ... Est-ce que je peux vous inviter au restaurant ?— J’accepterais avec grand plaisir, lui répond-elle.— Alors, c’est d’accord, je passe vous prendre samedi soir à vingt heures. » La tenue assez décontractée rajeunit Pascal. Quand elle apparaît devant la porte, il est stupéfait, à peu près la même tenue que Véronique, jean et polo sur des chaussures à talons. C’est un bon restaurant où ils ne risquent pas de rencontrer de connaissances professionnelles. Au cours du repas, il la fait un peu boire, du très bon vin, cela la détend, l’étourdit. Elle lui raconte les petites histoires du bureau, le tutoyant comme un collègue. Le repas se prolonge assez tard. Il lui propose ensuite de sortir en boîte. Mais elle refuse, afin d’éviter les commérages, lui dit-elle. — Eh bien, je te raccompagne. Mais aujourd’hui, tu es en meilleur état que la dernière fois.— Oh, je me sens quand même sur un petit nuage, je n’ai pas l’habitude de boire.— Je te guiderai jusque chez toi. Je suis parvenue à le décider à venir chez moi, se dit-elle. Maintenant, il faut le retenir. Dans l’escalier, elle simule une légère ivresse, perdant l’équilibre. Il la rattrape, la tient par la taille pour l’aider. C’est lui qui doit enfiler la clé qui refuse d’obéir à Elodie. Dès l’entrée, elle s’écroule sur le divan. — Aide-moi à me déchausser, je n’y arrive pas… et aussi à quitter mon jean. Il obéit, heureux de voir que c’est elle qui tente de le piéger : la tâche sera plus facile. Avec le jean, le string a glissé, dévoilant ...
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