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Mensonge et trahison
Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, amour, 69, pénétratio, fsodo,
... l’intimité féminine. — Oh, tu m’as déjà vue toute nue, finis ce que tu as commencé. Sans un mot, mais avec satisfaction, il obéit. Puis il déploie le divan et allonge Elodie. Elle s’est accrochée à son cou et ne le lâche pas. Ses lèvres se frottent contre le visage masculin et finissent par trouver la bouche. Pascal reste impassible, et c’est elle qui force la barrière des dents. Il n’a plus qu’à la laisser opérer. Sans interrompre le baiser, elle essaie de déboutonner la chemise, de saisir le sexe qui durcit. Changeant de tactique, elle le lâche et s’écrie : — Baise-moi, j’ai envie de toi ! Vite. Pascal se redresse, se déshabille, heureux de l’initiative qu’elle a prise. Il s’allonge auprès d’elle. Elle reprend le baiser et d’une main va reconnaître les attributs de son partenaire. L’examen doit être satisfaisant, car elle se sépare pour regarder l’objet. — Ça, c’est un morceau de roi. Laisse-moi y goûter ! Joignant le geste à la parole, elle s’empare du sexe et l’embouche. Pascal lui rend la pareille. Couché sur le dos, il a devant lui une fourche bien tentante. Sa bouche goûte ce fruit frais, recherche le bouton que la langue déniche bientôt. Il glisse un, puis deux doigts dans la fente, les enfonce profondément. La mesure semble plaire à la demoiselle. Alors il les agite, provoquant une inondation. Il pistonne rapidement puis tente une approche sur l’arrière. La porte est verrouillée et pas moyen d’entrer. Se reculant, il vient tenter de graisser la serrure avec la ...
... langue. Elodie s’immobilise, surprise par cette manœuvre. Continuant son léchage, son doigt se présente à nouveau et parvient à s’engager un peu. — Viens me baiser, lui dit-elle, suspendant la manœuvre. Elle pivote et vient s’allonger sous lui, mettant elle-même en place le sexe au centre de la cible. Il s’enfonce dans ce pot de miel. Elle met ses jambes autour du bassin et donne la cadence. Pascal essaie de penser à autre chose, afin de retarder son plaisir. Elle accélère de plus en plus, soudain se crispe et crie, nouée au corps masculin. — Que c’est bon, tu es formidable. Mais toi, tu n’as pas joui.— Ce n’est pas grave.— Jamais de la vie, laisse-moi faire. Elle se place à quatre pattes, Pascal vient derrière elle. — Viens par derrière, j’aime bien. Mais pas question de m’enculer, je ne veux pas. Il a devant lui un spectacle magnifique, deux fesses mignonnes, nerveuses. Il aurait bien aimé franchir cet interdit. Plus tard, je la déciderai, pense-t-il. La tête entre les bras, affalée sur le coussin, elle attend. Il se place et à nouveau s’enfonce. Couché sur son dos, il saisit les seins, en agace les pointes. Il part à grands coups, faisant claquer ses cuisses sur les fesses. Il mordille le cou. Elle gémit de plus en plus fort et crie. Pascal se laisse aller à son plaisir. Les jambes féminines ont cédé et il se retrouve allongé sur elle. À l’oreille, il lui murmure des insanités « tu baises bien, tu en voulais plein le con, je t’ai bien garnie ». Elle ronronne, heureuse d’avoir ...