-
Mensonge et trahison
Datte: 29/01/2018, Catégories: fh, amour, 69, pénétratio, fsodo,
... prend l’autre mamelon. Surprise, elle proteste : — Laisse-moi finir, je prépare le repas !— Tout à l’heure, c’est toi qui t’es amusée avec moi, maintenant à mon tour. Jambes jointes entre les cuisses de sa maîtresse, les genoux appuyés contre le meuble, il la maintient en suspension. Seule la pointe des pieds de Elodie touche sur le sol et entre ses fesses vient s’encastrer une cheville qui la soutient, cherchant l’encoche interdite pour mieux fixer la prise. — Non, je t’en prie, pas ça, je n’ai jamais voulu, laisse-moi.— Pourtant, tu sais c’est bon.— Pas ça, je t’en supplie ! Estimant qu’il avait un peu progressé, il avance légèrement son sexe, le place à un endroit plus conforme et la laisse descendre brusquement. Elle pousse un cri d’étonnement, mais sûrement pas de douleur. — Salaud, tu m’as eu par surprise.— Comme toi tout à l’heure, je t’avais bien dit que je me vengerais. Mais la vengeance semble bien douce à la suppliciée. Le torse aplati sur la paillasse du meuble, elle subit avec plaisir l’assaut de son prédateur. Quand ce dernier sent les contractions de sa victime, il la laisse partir seule vers le bonheur. Il se retire et se déverse dans la vallée culière. Puis il avance un doigt enduit de son sperme et profitant de la passivité de sa compagne, l’enfonce lentement dans le tunnel inviolé, l’agite un peu, puis le ressort. — Tu y es arrivé, quand tu as une idée en tête…— Tu as un doigt dans le cul, s’empresse-t-il de dire, lui coupant la parole.— Il est vrai que ...
... bien graissé, un doigt, ça n’a pas été trop dur. Mais pas question de m’enculer.— Mais si, tu verras, quand tu y auras goûté, tu ne pourras plus t’en passer. Après le petit-déjeuner, elle voulait qu’il reste avec elle, mais il a prétexté du travail en retard pour s’éclipser. Le travail a repris normalement. À la mine réjouie de son patron, Christine a compris qu’il était parvenu à ses fins. Deux fois dans la semaine suivante, les deux amants se retrouvent chez lui. Ils y ont plus leurs aises, mais il la raccompagne jusqu’à son studio dans la nuit. Elle apprécie son expérience, se rendant compte qu’il l’utilise pour son plus grand plaisir. Mais elle y trouve le sien et se sent même bien avec lui. Le piège qu’il tend se referme lentement, mais pas seulement sur sa victime. Les jours sans elle, il est tendu. Ce n’est pourtant pas de l’amour, il lui suffit de penser à Véronique pour s’en convaincre. Mais elle devient comme une drogue, il aimerait bien se désintoxiquer. Christine, fine mouche, se rend compte dans de petits détails, de l’évolution de la relation. Mais il lui est difficile de savoir quel sentiment existe entre eux, amour ou seulement sexe ? Un soir, une légère bruine tombe sur la ville, rien de bien gênant. — Si vous voulez madame, je vous raccompagne, cela vous évitera de vous mouiller. Comprenant que ce n’est pas de la galanterie, mais plutôt le besoin de parler, elle accepte. Dans l’appartement, ils se sont embrassés, mais rapidement elle s’est détachée pour ...