Mensonge et trahison - Histoires de Sexe

Mensonge et trahison

... vaincu le patron, ignorant que c’est lui qui mène la danse. Plus tard, propres, ils sont allongés sur le canapé. — Tu sais, je voulais qu’on baise, mais je ne savais pas comment m’y prendre avec toi. Tu es mon patron, et en plus, le plus âgé que j’ai jamais connu, mais j’avoue que ma copine avait raison, les vieux, vous avez une sacrée expérience.— Oui, mais il faut que personne ne le sache, d’ailleurs nous ne recommencerons probablement plus. Elle le regarde, surprise : — Pourquoi, ce n’était pas bon, tu as bien pris ton pied quand même !— Non, ce n’est pas cela, mais je suis trop vieux, il y a le boulot et puis je ne veux pas que tu te fasses d’illusion, je ne veux rien te promettre.— Mais je ne te demande rien, je suis d’accord pour que cela reste secret, et surtout qu’il ne soit pas question de jalousie. Ne nous enchaînons pas, prenons simplement du bon temps lorsque nous en avons envie.— Dans ces conditions, je veux bien.— Pour le moment, j’ai toujours vécu des aventures, un garçon de temps en temps, mais surtout pas de sentiments, ni dépendre de quelqu’un. Ma cousine en a fait la triste expérience. Elle s’est amourachée d’un type. Pour elle c’était très sérieux. Puis un jour, sans rien lui dire, sans un mot, il est parti.— Oui il y a des filles qui tombent sur des salauds. Ils sont restés enlacés, et elle s’est endormie. Pascal est heureux, son projet de vengeance s’amorce bien et de façon fort agréable. Il va pouvoir faire l’amour autant qu’il voudra, Elodie et ...

... Christine, deux femmes disponibles, d’autant que l’aînée sera là pour lui faciliter la tâche auprès de la jeune. Il flotte, dans l’eau, en l’air, il ne sait, mais il est bien. C’est irréel, bien sûr, mais très agréable. Il ignore laquelle de ses maîtresses joue avec son sexe, c’est à la fois l’expérience de Christine alliée à la fougue d’Elodie. Le plaisir monte, est tellement grand que la jouissance le réveille. Elodie le contemple en riant, tenant dans une main le sexe dégoulinant. Sa poitrine est maculée de sperme. Elle se frictionne les seins avec ce baume embellissant. Pascal, penaud, comprend qu’elle a profité de son sommeil pour jouer avec lui. — Tu aurais pu me réveiller, nous aurions pris du plaisir ensemble.— Mais j’ai pris mon pied de te voir comme un bébé et de pouvoir m’amuser à ma guise.— Tu vas voir, moi aussi je vais jouer avec toi. Mais avant qu’il puisse la saisir, elle est partie s’enfermer dans la salle de bains. Elle chantonne, accompagnant le bruissement de l’eau de la douche. S’habillant rapidement, il est descendu chercher des croissants. À son retour, elle l’attend, préparant le petit déjeuner, vêtue d’un tee-shirt trop long pour l’habiller, mais assez court pour exciter. Sur la pointe des pieds, le bras tendu elle tente d’attraper un bol sur la plus haute étagère. L’étoffe remonte et laisse apparaître une fesse musclée. Pascal glisse sous l’étoffe, une main saisit un sein, l’autre libère son sexe qui vient coincer le bassin féminin contre le meuble. Puis il ...