L'Equipe VII
Datte: 08/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... arrivé à l'appartement même si la soirée, voire nuit, était déjà bien avancée nous avons travaillé une bonne heure. c'est lorsque je me referma mes cours que mon blond me dit qu'il continuait encore. Il m'expliqua alors qu'il avait une conférence le lendemain pour ses études et que cela se passait dans une autre ville plus proche de la maison familiale et donc qu'il irait là bas en train et son père le récupèrerait après la conférence. Il allait donc passer le samedi soir à la maison et c'est à nouveau son père qui le déposerait dimanche à la gare pour qu'il nous rejoigne pour le match. Bref j'allais donc me retrouver seul non pas que cela me dérangeait mais bon... j'avais un petit pincement malgré tout. David me ramena sur terre en me claquant les fesses et m'intimant d'aller au lit car j'avais cours moi le lendemain, ce que je fis en riant, non sans avoir déposé un bisou sur sa joue. L'épuisement de l'entrainement aidant je me suis profondément et rapidement endormi au point de ne pas sentir, de ne pas émerger du sommeil quand il me rejoignit par après se glissant nu contre moi sous les draps. Ce n'est qu'au petit matin dans l'obscurité de cette fin de nuit d'automne que je remarquais sa présence. Le doux murmure de la flute de bambou et du koto, mélodie de mon réveil me tira de mon sommeil par contre j'eut la confirmation que cela berçait le grand blond à mon côté. Doucement je pivotais sur moi même et je pus alors l'admirer dans son sommeil. Devais-je le laisser dormir, ...
... devais-je le réveiller car après tout il avait un train à prendre? Je me sentais jouette et j'optais pour la seconde solution... Tirer les draps d'un coup sec aurait été cruel alors un sourire barra mon visage et s'est tel un félin se rapprochant de sa proie que je disparu sous les couvertures. Mes mains délicatement écartèrent ses jambes, mon corps se glissa entre et mon visage se rapprocha de mon objectif, mes narines se remplirent de cette odeur si unique si propre à chacun, un parfum aphrodisiaque à mes sens. Mes lèvres, ma langue se joignirent et parcoururent ce membre au repos, ce colosse endormi, parcourant ses lourdes bourses, glissant à la base de sa hampe, remontant sa verge jusqu'à en lécher et suçoter le gland encore recouvert de sa peau. Lentement ce membre se réveillait, se gorgeait de sang et désir, mes lèvres finirent par presser à son méat, mon bout de langue le titillant puis doucement repoussèrent son prépuce en arrière alors que j'aspirais le gland tout entier dans ma bouche. Un grognement brisa le silence de la nuit, une main fini par se poser dans ma chevelure, il était réveillé... En un instant mon corps se raidit et ma caresse buccale se figea net, le bulbe de sa verge encore en ma bouche. Qu'allait-il dire, faire? J'avais sur l'instant peur de sa réaction mais il n'en fit rien, ne dit rien, seule sa main joua encore quelques instants dans mes cheveux. Il ne me repoussait pas ni ne m'attirait, il me laissait tout simplement faire et en confiance mon jeu ...