-
Charmant voisinage (1)
Datte: 30/01/2018, Catégories: Erotique,
CHAPITRE UN 000000000000000 Ce cher Monsieur Émile se dandine d’un pied sur l’autre comme un ours de cirque attendant son sucre. — Pourquoi moi ? — Vous êtes sur le même palier Mademoiselle… Vous seriez sur place très vite si ça se reproduisait et y a bien que vous qui puissiez m’aider… Et… — Et quoi ? Je me fais poignarder par un psychopathe ! Agresser par un malade ! Violer par un fantôme mâle en kilt rapiécé en manque de câlins ? — Bien sûr que non ! Vous ne risquez rien du tout Mademoiselle G ! C’est juste des bruits bizarres… Les autres propriétaires sont simplement trop vieux… Certains ont même la frousse ! Vous seriez si gentille de bien vouloir avoir l’amabilité de m’aider. S’il vous plaît… — La pomme de douche à changer et cette fichue prise de courant dans la cuisine doit marcher. — Je m’en occupe mademoiselle G ! C’est promis ! — Dans la semaine ! Non demain ! — C’est promis oui… Monsieur Émile est mon gardien d’immeuble. La soixantaine, veuf et parait-il inconsolable. Bien en chair, chauve et la moustache en bataille, joufflu et le teint rubicond par amour du Bordelais et de ses productions viticoles, pataud et autant bougon qu’adorable. Râlant sans cesse tout en finissant par accomplir le moindre des désirs des occupants de ce qu’il nomme « son » immeuble. Et s’il les aime tous mes tout nouveaux voisins, il m’adore moi en particulier ce brave monsieur. Et ce depuis le tout premier jour. Une journée étouffante et moite où il était entré dans cet appartement ...
... meublé avec soin sans savoir que j’avais déjà les clefs en ma possession, après être passée par mon tout nouveau propriétaire. Ce brave Émile m’était tombé dessus et trouvée entièrement nue et déballant l’une de mes valises pour y chercher mon peignoir que je n’avais pas songé à prendre avant ma visite à la salle de bain. Penchée sur cette valise, il avait eu droit à une vue imprenable de mes fesses et de ma vulve tendues vers lui, puis au reste de mon anatomie quand je me retournais. A voir son teint pivoine et ses yeux fixés sur mon mont de Vénus, il découvrait en ce jour, son tout premier pubis lisse. Mon sourire et mon « Je parie que vous êtes Monsieur Émile » le sortirent de sa rêverie béate. Je ne m’étais pas rhabillée, et nous avions tenu conversation, moi le peignoir sous le bras et lui au bord de la crise d’apoclepsie. Monsieur Émile eut tout le loisir de contempler mon pubis, et même un peu plus quand j’écartais nonchalamment mais légèrement mes cuisses, de constater que mes pointes de seins étaient dressées et dures et quand je lui proposais un verre d’eau, faute de mieux, de détailler mes fesses une dernière fois, le temps que j’aille le lui chercher. C’est seulement quand il eut le verre en main que je me décidais à enfiler mon peignoir. Que je laissais néanmoins assez décolleté pour ne pas risquer de frustrer trop brusquement ce cher monsieur. Plusieurs fois je me baissais sur mes valises pour en sortir des effets personnels et chaque fois mes seins s’échappaient du ...