-
Charmant voisinage (1)
Datte: 30/01/2018, Catégories: Erotique,
... Merci… Rentrez vite ! La vieille dame est enfin partie et je quitte mon logis pour traverser le palier en quelques pas, La clef force un peu, couine en tournant mais la porte s’ouvre. Il n’y a plus que silence et je me retiens pour ne pas faire machine arrière. — Mais qu’est-ce qu je fiche ici moi... Il m’a fallu tâtonner un instant pour trouver un interrupteur qui ne fonctionne pas. Évidemment... — Et merde... Dans quelle galère je me... — Tenez Juliette ! C’est Adèle qui m’a prit le bras tout en me flanquant une frousse de tous les diables avant de m’interpeller, une grosse lampe de poche d’un autre âge déjà allumée à la main. L’objet ne m’aidera en rien dans mes recherches mais je décide de garder pour moi ma déduction. Je rentre, je jette un coup d’œil dans ce maudit appartement et je me recouche. — Filez vite madame Adèle ! Je reviens vite ! N’oubliez pas mon café ! L’endroit sent le renfermé et c’est peu de le dire... On se croirait dans une vieille crypte ou des catacombes. Il fait froid et ce malgré la chaleur de la nuit. Mon peignoir déjà collé à mon corps par la sueur est maintenant glacé et je frissonne en maugréant. Plus un bruit. Le petit corridor de l’entrée, puis ce qui doit être le salon... L’appartement que je parcours lentement est vide. L’endroit est plein de courants d’air glacé. Je les sens frôler mon corps et la solution de ces problèmes m’apparaît claire ...
... et logique. Une saleté de fenêtre restée ouverte ! Et donc grincements, couinements, battants ou volets qui claquent... C’est soudain limpide comme une eau de source. Il me faut juste trouver cette saloperie de fenêtre et le café noir et bien chaud d’Adèle me fera un bien fou. C’est tout de même dingue ce froid mordant. Un déplacement d’air plus fort que les autres soulève le bas de mon peignoir et me laisse les fesses à l’air et tandis que je tente de réparer les dégâts en maugréant, le haut de mon seul vêtement s’ouvre d’un coup libérant mes seins. Cette fois j’ai le temps de penser qu’un courant d’air même très fort ne pouvait en aucune manière arriver à me dépoitrailler de la sorte. Et c’est soudain une impression d’un pincement léger sur la pointe droite de mon sein. Le téton gauche subissant presque aussitôt le même traitement alors que je cherche à refermer mon peignoir. La ceinture qui lentement se dénoue alors que je sens peser une force contre mon dos me fait subitement très peur. C’est impossible et pourtant je ne rêve pas jamjcceu Je ne peux contenir un cri d’angoisse quand une main m’écarte les cuisses et que quelque chose se colle à mon sexe. C’est en hurlant que je me débats, tentant d’enlever cette chose immonde qui tente de me pénétrer. L’idée que je perds définitivement les pédales m’affole quand j’ai la nette impression que je tiens une main entre les miennes...