Montagnes torrides avec ma sœur et son amie (3) - Histoires de Sexe

Montagnes torrides avec ma sœur et son amie (3)

Je n’en reviens pas... Même dans mes rêves les plus fous je n’avais jamais imaginé prendre un pied pareil ! Avoir une relation sexuelle avec ma sœur et Fanny c’était juste inimaginable pour moi il y a encore une semaine ! Et là j’étais là, nu devant ma sœur le sexe encore dégoulinant de sperme, une sensation de bien-être dans le bas du ventre, me dirigeant vers cette chambre à la lumière tamisée qui me promettait une suite des plus chaudes. Morgane m’avait devancée. Je pouvais admirer son corps de déesse onduler devant moi au rythme de ses pas. Il n’y a pas à dire, elle est quand même bien foutue la petite sœur... Je m’arrêtais afin de pouvoir l’observer du mieux que je le pouvais. Elle se rendit compte rapidement de mon petit manège et se tourna vers moi. — Et bien quoi ? Tu as peur de ce qui va se passer derrière la porte ? — Non non absolument pas ! C’est juste que j’ai l’impression de rêver depuis un moment... — Aller vient. Sur ces mots, Morgane s’avança vers moi et prit mon sexe en main. Elle me dirigea vers la chambre un peu comme si elle tenait une laisse dans sa main, sauf qu’à la place de la poignée, c’était mon sexe qu’elle tenait. Je me laissais faire et l’accompagnais rejoindre Fanny. Elle ouvrit la porte tranquillement. Je put apercevoir Fanny, allongée de tout son long, les jambes écartées une main sur ses seins et l’autre s’activant sur son sexe. — Ah quand même ! Je commençais à m’impatienter ! Ses paroles tressautaient. Son souffle et ses soupirs étaient ...

... de plus en plus présents. Morgane de son coté commençait déjà à s’activer mon sexe qui reprenait toute sa vigueur. Brisant cette union, nous nous sommes approché du lit et nous nous sommes allongé de part et d’autres de Fanny. Décidément de plus en plus surprenante, Morgane commença à embrasser les seins de Fanny. Cette dernière soulevant son buste, dressait fièrement ses tétons durcis par le plaisir. Ce mouvement s’accompagna d’un long et torride : Ooooh oui ! De mon coté je me mis à caresser les jambes de Fanny. Je commençais par ses pieds et remontais petit à petit ses longues jambes vers son mont de Venus. D’abord ses mollets, doux et brillant, puis ses cuisses, fermes et incroyablement dessinées. Les soupirs avaient laissé place à des phrases, des mots de plaisirs qu’elle ne pouvait contenir. — Oh oui mes chéris, continuez c’est trop bon ! Ma main continuait son ascension. Au fur et à mesure que j’approchais de mon but, je sentais son humidité glisser au creux de sonentrejambe. Fanny avait totalement quitté son sexe, ses mains caressant les cheveux de ma sœur toujours très appliquée sur ses seins. J’avais donc le champ libre. Au moment où mes doigts effleurèrent ses lèvres, Fanny poussa un long soupir et plia sa jambe gauche. Elle était vraiment au bord de l’orgasme mais luttait pour profiter pleinement du moment. Je continuais de découvrir cette zone chaude et humide. Mes doigts étaient à la recherche de son point d’amour. Je ne mis pas trop de temps à le trouver, déjà ...