Montagnes torrides avec ma sœur et son amie (3) - Histoires de Sexe

Montagnes torrides avec ma sœur et son amie (3)

... sensation était grandissante. Il fallut justes deux mots pour que je me lâche totalement : — Je viens ! Je viens Thomas ! Fanny se crispa d’un coup ! De mon coté je sentais mon sexe exploser à l’intérieur du sien. Je ne sais pas combien de jets de sperme sont sortis à ce moment-là mais le plaisir me parut incroyablement long. Ma sœur n’était pas en reste et avait accéléré son mouvement sur son sexe. Elle aussi explosait dans un soupir long et interminable. — Je sens ton sperme en moi ! C’est bon ! Je m’activais toujours même si sous l’effet du plaisir, il était difficile pour moi de maintenir la cadence. Mes mouvements étaient entrecoupés à chaque montée de plaisirs, à chaque écoulement de mon sperme. Nous avions atteint l’orgasme tous les trois en même temps. Je m’effondrais sur le corps de Fanny, visiblement épuisée par tout ce qui s’était passé. Ma sœur m’accompagna dans mon mouvement. Nous étions les uns sur les autres, presque endormis tellement nous avions joui avec force. L’instant dura peut-être une ou de minute avant que ma sœur et moi-même libérions le corps de Fanny. Lorsque je sortis mon sexe du sien, je vis mon sperme dégouliner de sa chatte encore trempée. Sous l’effet de la gravité, ce dernier s’engouffra dans la raie de ses fesses avant de terminer sa course sur les draps à présent totalement trempés. — Merci à vous deux... C’était juste génial... Dit Fanny — Oula non, c’est à moi de vous remercier ! Jamais je n’aurais cru pouvoir profiter d’un tel moment avec ...

... deux magnifiques femmes comme vous ! — Je suis vraiment épuisée... Ça va mon cœur ? Fanny s’adressait à présent à ma sœur. — Oui. Moi aussi j’ai vraiment apprécié le moment... J’étais entouré de mesdeux femmes. Fanny sur ma droite et Morgane sur ma gauche. Les yeux fermés ,nous étions àdeux doigts de nous endormir. Dans ma tête je ne pouvais m’empêcher de me dire que Morgane et Fanny n’en étaient pas à leur première expérience toutes les deux. Elles semblaient réellement complices et n’avaient visiblement aucun problème pour se caresser mutuellement. — Thomas ? — Oui Morgane ? — Tu veux bien aller éteindre la lumière ? J’en peux vraiment plus là. Je puisais dans mes dernières forces afin de réussir à me relever. Avant d’appuyer sur l’interrupteur, j’osais un dernier regard en direction du lit double. Elles étaient là, étendues sur les draps froissés, immobiles et magnifiques. Je regardais leurs poitrines et leurs sexes à tour de rôle. Je voulais imprimer cette image au plus profond de moi avant de couper la lumière et de tomber dans un sommeil profond. Une fois dans le noir complet, je ne me dirigeais pas vers mon lit simple mais bel et bien vers le lit double afin de reprendre ma place entre mes deux chères et tendres. A peine couché, je sentais le bras de Fanny se poser sur mon torse et sa tête se blottir contre mon épaule. Nous étions bien... Juste bien... Et le sommeil me gagna. Il fait beau dehors. Le sable est chaud, le soleil est à son zénith et le bruit des vagues me ...