Elodie chérie (6) - Histoires de Sexe

Elodie chérie (6)

... me demande : — Ça va ? — Houah ! C’est gros, mais ça va ! C’est surtout très bon ! — Tu veux quoi ? Qu’il y aille doucement ou plutôt fort ? — Il faut que je m’habitue … Après, comme il le voudra ! Hélène dit à son fils : — Mon chéri, moi, j’aimerais que tu y ailles fort, comme tu le fais avec moi parfois, tu veux bien ? — Si tu veux maman ! Eric se penche à mon oreille et me glisse : « Et toi, Marc, ça te ferait envie que je sois brutal  ? » En réponse, je hoche positivement la tête. Ce garçon se révèle extrêmement doué pour son âge ! Les relations avec sa mère lui ont appris à être attentif aux préliminaires. Il prend énormément de soins à me dilater, en coulissant lentement, mais de toute sa longueur. Il porte attention à ma verge en la caressant avec douceur. C’est moi qui lui donne le signal en pressant, avec force, une de ses fesses de la main. La vitalité de sa jeunesse lui donne une force incroyable pour me saillir ! Il déchaîne toutes ses pulsions bestiales, et j’adore cela ! Si ma fille m’a fait découvrir ce plaisir insoupçonné avec son gode ceinture, ici, c’est différent, nouveau, car la bite de ce garçon m’emplit, me sonde en profondeur, me soulève du sol, me défonce totalement le cul ! Je ne me considère pas le moins du monde en tant que fille ou même ...

... gay, mais plutôt comme le partenaire sexuel de ce jeune homme. Il s’y prend bien pour me satisfaire. J’ai le sentiment qu’il s’accorde à mes désirs en les anticipant, ou peut-être est-ce moi qui m’adapte aux siens. Elodie, allongée sur le sol et qui se fait brouter par Hélène, ne me quitte pas du regard. Elle m’encourage tacitement, à apprécier ce moment de folie. J’aime les assauts, les coups de reins, les bras qui m’enserrent, cette chair vivante qui me perfore sauvagement. Quand il se couche sur moi et se crispe, je sens que sa semence m’envahit. Il me mordille amoureusement le cou, tout en me fécondant avec vigueur ! Je peine à reprendre mon souffle et mon amant m’aide à me redresser et à m’agenouiller en me tenant par le torse, cela sans jamais sortir de moi. J’entends Elodie jouir, mais ne peux la regarder car Eric me tourne la tête et veux de moi un baiser. Que je lui accorde après qu’il m’ait donné tant de plaisir. Même si je n’ai pas joui, j’ai éprouvé de telles nouvelles sensations, que je suis prêt à recommencer rapidement cette expérience quand le feu de mon cul sera éteint. C’est ce que j’avoue à ma fille sur le chemin du retour. Avec ce couple mère fils, nous avons échangé nos numéros et convenu de vite nous revoir, afin de faire la « revanche ». Ça promet !