1. Les joies érotiques de la randonnée cycliste


    Datte: 30/01/2018, Catégories: A dormir debout,

    ... ouvertes sur son pubis abondamment velu. Constatant avec satisfaction que son mari bandait sous le jogging, elle l'admonesta : - Fous toi à poil toi aussi et baise moi, pas la peine de me préparer, je suis archi prête. Devant le spectacle de sa femme offerte, coudes au sol, le regard brûlant, Philippe eut à son tour la tête en feu. Il avait toujours aimé le corps de sa femme, aux rondeurs épanouies, mais dans ce contexte agreste, sa belle carnation et les larges aréoles de ses seins généreux lui parurent encore plus désirables. Il se déculotta prestement, obéit à la consigne de se mettre entièrement nu, laissa Agnès s'emparer de son pénis tendu et le guider vers sa vulve béante. Il s'enfonça en elle avec délectation, savourant l'humidité de son vagin et se mit à aller et venir, encouragé par les ongles de sa femme plantés dans ses fesses. Ce fut un coït bref mais torride. Répondant à la demande, il la pilonna avec vigueur, faisant trembler ses seins et déclenchant une série d'onomatopées dont Agnès n'était guère coutumière, elle qui avait plutôt le plaisir discret. Stimulé dans sa virilité, il produisit une rafale de coups de bite sans changer de position dont l'épilogue fut un puissant orgasme vocal de son épouse et de lui-même une abondante éjaculation dont Agnès savoura les dernières gouttes dans sa bouche. Puis il bascula dans l'herbe, épuisé : - Bon Dieu Agnès, qu'est-ce qui t'a pris ? C'est le vélo qui t'a mis dans cet état ? - Euh, oui... - Eh ben dis donc, tu peux en ...
    ... faire souvent, je suis pour... ******* Pendant toute la semaine, Agnès s'évertua à convaincre Philippe de la rejoindre dans la randonnée cycliste. Sans bien entendu évoquer les arrêts coquins. Elle craignait qu'en en parlant, Philippe lui fasse une scène et l'oblige à remiser son vélo. Elle le voulait d'autant moins que depuis l'épisode du jardin, leur vie sexuelle avait pris une nouvelle intensité. Philippe avait droit à sa pipe du matin au lit et même à une reprise, en l'absence des enfants, sous la table du déjeuner. Agnès prétendait que sa libido était stimulée par le vélo, ce qui n'était pas tout à fait faux... Durant cette même semaine, au travail, Sandrine et elle était revenue sur la randonnée vécue en commun. Agnès lui avait raconté ses échecs à faire venir son mari. Sandrine avait répondu : - Tant pis pour lui, il ne sait pas ce qu'il perd. Et toi ce que tu gagnes. Agnès n'avait pas relevé mais très bien compris l'allusion. Elle savait que l'arrêt pique-nique pouvait mettre à mal sa fidélité conjugale mais craignait en même temps de ne pas pouvoir résister à la tentation. D'autant que Sandrine ne ferait rien pour la calmer. Elle se demanda un moment si elle devait retourner au rassemblement, s'il n'était pas préférable de pédaler seule. Mais un instinct irrépressible la poussa à honorer le rendez-vous comme la semaine précédente. Et c'est avec joie qu'elle retrouva le petit groupe le matin sur le parking habituel. ******* Pendant toute la première partie du trajet, ...
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