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Les joies érotiques de la randonnée cycliste
Datte: 30/01/2018, Catégories: A dormir debout,
... où elle se sentait beaucoup mieux qu'une semaine plus tôt, Agnès pensa à la pause. Où allait-on s'arrêter ? Quelle serait la topographie des lieux ? Deux heures plus tard, elle eut la réponse. Le leader du groupe, Damien, entraina la petite troupe sur un chemin carrossable aboutissant à une sorte de petit étang lové au milieu d'une clairière. Tout le monde s'extasia sur le charme du lieu. Comme il faisait chaud, l'eau appelait la baignade, même si ce n'était pas vraiment recommandé pour des pédaleurs. Fabienne, l'athlétique blonde à queue de cheval, donna le signal. Sans crier gare, elle se débarrassa de son maillot, de son soutif, de son cuissard et de ses chaussures et entra entièrement nue dans l'onde avec un soupir de ravissement. Julie l'imita aussitôt, révélant une nudité capiteuse de peinture impressionniste. Les hommes s'y mirent aussi, puis Pascale, Sandrine, Maud et Martine. Ne voulant pas passer pour cruche, Agnès vainquit sa pudeur et entra à son tour dans l'étang dans le plus simple appareil. Jamais elle ne s'était baignée nue et elle ressentit aussitôt une sensation délicieuse autant qu'inédite. Sandrine la félicita : - Bravo, c'est bien de t'être lancée. Maintenant, je te préviens, ça va baiser dans tous les coins. Laisse-toi aller, pense à ton plaisir. La prenant au mot, et en compagnie de Martine, dont elle admira la minceur et les muscles malgré ses 60 ans, Agnès s'éloigna du rivage en quelques brasses et passa une dizaine de minutes à profiter de la ...
... fraicheur bienfaisante de l'eau tout en papotant avec Martine. Elle ressentait le besoin de se désexciter après les deux heures de vélo et le frottement de son vagin sur la selle. Mais quand elle regagna la berge en s'avançant debout, de l'eau jusqu'à la taille, ce qu'elle vit la prit instantanément au bas-ventre. Devant elle et Martine, les deux jolis dos nus de Corinne et Maud s'agitaient côte à côte au-dessus de deux mâles supposés être leurs maris respectifs, dont elles ne voyaient que les pieds et les couilles gonflées par la pression de leur croupe en mouvement. Mais ce n'était pas tout. Tout contre le quatuor était un trio composée de Pascale, prise en levrette par Pascal mais suçant en même temps le cycliste Martial. Et un peu plus loin, l'autre cycliste Damien besognait Fabienne en missionnaire avec une allégresse du cul qui en disait long sur sa motivation. Bien entendu, les gémissements se mêlaient aux râles et parfois une onomatopée très crue. Cette scène plagiste chavira complètement Agnès et Martine, laquelle s'exclama : - Cette fois, je crois que je vais craquer. Et de s'enfoncer dans la clairière, absolument nue, à la recherche d'un mâle... Au bord de l'eau, Martial savourait la bouche experte de Pascale lorsqu'il vit les deux femmes sortir de l'étang : une filiforme, bien gaulée pour son âge, et une autre qu'il jugea aussitôt comme la quintessence de la Femelle. Comment avait-il fait pour ne pas la repérer, celle-là ? La sortie de l'eau d'Ursula Andress dans le film ...