COLLECTION COCU. Je cocufie mon DAB. (2/2)
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... moi, elle m’a pris mon téton au travers de mon corsage et l’a pincé jusqu’au moment où j’ai crié la douleur devenant insupportable. Elle s’est levée et est partie, je l’ai rejointe dehors, elle a accepté de me parler pour me dire que je sois le lendemain soir à la même heure devant cette boîte, j’étais apeurée, mais j’ai essayé de rentrer dans notre chambre qu’elle avait fermé à clef me laissant sur le paillasson. • Le lendemain y es-tu allée ? • Le matin je suis allée à mes cours sans la voir et le soir j’y suis retournée. Elle est arrivée et m’a montré deux hommes au bar, comme la veille j’ai dit non et elle m’a regardé avec un œil noir, avant d’ajouter que si je refusais ces deux hommes demain il serait trois, puis quatre. Comment a-t-elle fait mais le geste suivant tout ce que je sais c’est que je me suis retrouvé avec un couteau sous mon sein, regarde elle me l’a planté j’ai encore la cicatrice ? • Et tu t’es laissé dépuceler par des deux hommes. • Ils m’ont emmené dans leur chambre et ils m’ont dépucelé me prenant par la chatte et par le cul, chaque fois que leurs verges entraient en moi comme des barres rouges, je l’acceptais ayant le visage de Laurette devant mes yeux. Ils étaient en moi l’un par-devant l’autre par-derrière quand j’ai eu mon premier orgasme. Quand je suis sortie de la chambre elle m’attendait, elle a frappé à la porte et j’ai vu la main d’un des deux hommes lui donner des billets, elle m’avait vendu et j’étais fière qu’elle soit contente de moi. • ...
... T'a-t-elle souvent prostituée ? • Nullement, tu ignores tous de la soumission, elle voulait me casser et que je sois à elle, ce que j’ai été. Pendant plus de deux ans je suis resté dans notre chambre attachée comme je le suis et chaque fois qu’elle trouvait quelque chose à redire sur la nourriture, la salle de bain mal lavée elle me punissait mais elle avait raison car je l’avais déçue. • Pourquoi l’as-tu quittée ? • Elle m’a vendu à mon nouveau maître étant obligée de partir à l’étranger. • Elle t’a vendue comme un vulgaire sac à patates. • Nous les soumises ce genre de question on s’en fiche, un jour elle a coupé la chaîne qui m’empêchait de sortir de la chambre où nous étions et m’a dit d’aller à la séance de 14 heures au cinéma de notre ville. • Quel film jouait-on ? • Cinquante nuances DE GREY, ils avaient choisi ce film qui venait de sortir car il était là quand je me suis assise, j’ai voulu parler mais d’un geste il m’a fait comprendre que je regarde le film, à la fin, il m’a tendu un papier qu’il m’a demandé de signer comme dans le film. • Tu peux le quitter comme tu le veux, comme dans le film. • Oui mais pourquoi je le ferais, ici je suis protégé de la vie qui me fait peur. • Tu me touches, je vois que tu es attaché à cet homme. • Pas un homme, le maître. • Je vais te laisser dormir, je reviendrais te voir dès que je le pourrais, j’ai rarement été aussi impressionné par une jeune femme qui vit sa passion avec une telle audace. Une dernière question et je te laisse, ...