1. COLLECTION COCU. Je cocufie mon DAB. (2/2)


    Datte: 31/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pourquoi cette lampe blanche qui nous éblouit ? • C’est pour me tenir chaud et maintenir mon corps en bonne santé, vivre recluse pourrait être dangereuse, j’aime qu’il me frappe quand je suis méchante, qu’il me fasse l’amour quand il est content profitant de moi comme il doit le faire avec une bonne soumise. Je suis parti après lui avoir remis sa cagoule, en sortant le premier soir je me suis donné une mission, qu’elle accepte de casser son contrat avec mon père et pas son maître car pour moi personne n’a le droit de soumettre un être humain à un autre. J’ai retrouvé mon DAB et me suis bien gardé de lui dire que j’avais découvert son secret. J’ai mis trois mois ayant quitté la maison pour lui confectionner un nid d’amours. Chaque fois que je la prenais dans mes bras j’en étais arrivé à ma limite de vouloir le tuer surtout quand je découvrais des traces des coups qu’il lui infligeait fût avec son accord. Un après-midi où je savais qu’il avait pris l’avion pour se rendre à l’autre bout du pays c’est d’elle-même qu’elle s’est empalée sur mon sexe qu’elle avait d’elle-même dénudé. • Véronique, ton Maître revient demain, dit lui que tu romps votre contrat il te libérera, tu sortiras du pavillon et je t’attendrais devant avec ma voiture et je t’emmènerais dans ta maison. • Veux-tu que je devienne ta soumise ? • Sûrement pas, je vais t’apprendre à assumer ta vie et surtout ta liberté. J’ai une mignonne petite femme que tous les mondes m’envient, elle est devenue écrivain et a déjà publié deux livres, les deux sur les femmes et la grossesse et les femmes après la grossesse. Elle sait de quoi elle parle nous avons deux enfants. Quant à mon père j’ignore ce qu’il est devenu, quand je lui ai présenté Véronique, il a montré un moment de surprise et a disparu, nous gérons l’entreprise qu’il a créé et nous vivons heureux mais contrairement au dicton « Pour vivre heureux vivons caché » notre devise c’est « Pour vivre heureux vivons au grand jour. »
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