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COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4)
Datte: 31/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,
... donc sortie mais la barre au sol d’une porte-fenêtre et le carrelage d’une salle avant de me faire monter des marches certainement en bois recommence à me faire mal aux genoux. À l’étage où l’on me fait monter je sens de nouveau le froid d’un carrelage, une petite tape sur mon fessier me donne un ordre que j’ai du mal à comprendre. Je sens le rebord d’une baignoire et j’entre dans l’eau qui est à bonne température. Je mets du temps à comprendre que je suis libre car on m’a enlevé ma laisse ainsi que mon collier et je prendre le risque d’enlever la cagoule. Je retrouve la salle de bain que j’avais vu lors de la visite et où j’avais eu un coup de cœur pour la cave où je viens certainement de passer quelques heures. Je prends conscience que ce bain est le bienvenu car depuis que nous sommes sorties de notre ancien appartement de Beaune, Vivian m’a traîné au sol vers le garage au sous-sol, en forêt, sur l’allée certainement de l’autre côté de la maison car il me revient en mémoire qu’elle était gravillonnée. Tout est à ma disposition, gel, savon moussant, je suis si bien que le temps paraît s’arrêter surtout que l’eau de la baignoire transparente doit être à température constante car depuis que je me suis plongé dedans elle a gardé sa chaleur. Vivian doit aimer les systèmes automatiques comme j’ai pu le voir, pardon entendre les moteurs me changer de position dans ma cave, car mes bras et mes jambes retrouvent leur élasticité sous l’effet de jets puissants qui viennent de ...
... démarrer et qui massent mon corps. Quand les jets s’arrête la fraîcheur qui monte du fond la baignoire m’oblige à en sortir. L’eau est devenue presque glacée car je pense que le système doit injecter de l’eau réfrigérée. Ma robe de chambre m’a été apportée et devant la grande glace je peux voir que ma chatte et mes fesses sont zébrées par la cravache qui m’a fait souffrir pour mon plus grand plaisir quand j’étais attaché et a sa merci. J’entre dans notre chambre déçue que mon lit ou je peux être attaché soit remplacé par un modèle en bois massif certainement acheté chez un brocanteur et rénové par un ébéniste car je sais qu’un des plaisirs de Vivian est de chiner le dimanche dans ce genre d’endroit. Sur ce lit je comprends ce que mon maître veut faire, il semble qu’il va séparer ma vie en deux. La première partie quand je serai une femme respectable comme je l’étais avant de plonger dans la luxure et la deuxième celle qui deviendra sa chienne dans ma cave à la merci de tous ses vices. Ses vices vont-ils jusqu’à me donner à un ou une autre car j’ai encore ancré en moi ses mains me palpant, me caressant allant même jusqu’à agresser mon intimité. Ce que souhaite faire mon mari je vais le découvrir rapidement mais quand je le verrai car la maison est plongée dans le silence, qu’il soit certain qu’il n’aura de ma part aucune question. Je m’isole divinement dans mes toilettes car depuis que j’ai quitté Beaune ce type d’endroit m’est inconnu et je me pose la question que se serrait-il ...