1. COLLECTION SM. Enfin ma cave. (4/4)


    Datte: 31/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... passé si ce besoin je l’avais eu quand j’étais pendu par mes chaînes. Sur le lit une robe longue est posé, c’est un véritable voile de couleur beige avec à son côté un écrin ouvert avec une parure de bijou. Un meuble de maquillage me fait comprendre que Vivian doit m’attendre dans la maison et qu’il souhaite que je me fasse belle. Depuis qu’il a déclenché mes instincts les plus bas mais ceux que je préfère, il me semble que nos cerveaux ont fusionné et que ses désirs ou mes désirs nous arrivent naturellement sans que nous ayons besoin de dire le moindre mot. Je m’assieds, me coiffe, me maquille avec tous ce dont j’ai besoin et qui se trouve sur la table avec pour terminer une pointe de parfum tiré d’un flacon d’un Grand couturier et qui a un numéro entre quatre et six inscrits dessus. Je mets la parure composée d’un bracelet, d’un collier et de boucle d’oreille que je place dans les trous que ma maman m’a fait percer quand j’étais petite. Les choses sont bizarres car depuis que je mets des boucles mon cerveau à oublier le plaisir que j’avais eu quand le bijoutier me les a percés. Maman avait été étonné qu’à aucun moment je n’aie pleuré mais ce que ce jour-là j’avais oublié de lui dire c’est que je venais de connaître mon premier plaisir de jeune fille sortant de la ...
    ... puberté. Je regarde au sol mais Vivian n’a prévu aucune paire de chaussures, il veut que je le retrouve simplement vêtu de cette robe, plutôt de ce voile qui me montre la fente de ma chatte épilée au laser qu’il m’a offert il y a un an pour mon anniversaire. Je suis couverte mais impudique, quand je me déplace sur les dalles en pierres du pays et que passant devant ma Psyché je pense à Esméralda de Notre-Dame de Paris. Je m’arrête, tournoie plusieurs fois sur moi-même faisant voler mes voiles comme l’amoureuse de Quasimodo. Le beau, le laid, le plaisir le mal tous les contraires s’attirent et j’en suis consciente depuis que j’ai accepté ma condition de femme esclave de son corps et surtout de son amoureux. Je descends mais dans la salle Vivian brille par son absence. La porte-fenêtre est ouverte et un store est déployé plongeant la terrasse dans l’ombre, je m’avance voyant qu’il a fait construire une piscine à l’emplacement où il y avait des buissons et une pelouse. Je sors, Vivian est là. Il a revêtu un smoking blanc relevant son teint hâlé, d’un coup je suis la femme la plus heureuse et amoureuse au monde, mon homme est resplendissant de beauté et c’est moi qu’il a choisi. Il se lève, s’approche en tenant deux coupes de champagne dans ses mains. • Bien venue chez toi mon amour… 
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