1. Jeux entre frères (11)


    Datte: 31/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Elle me donnait une étrange envie, pas de lui faire l’amour, mais plutôt comme l’attirance d’être à ces côtés ; je m’enflammais de plus en plus. Petit à petit et le soleil descendait doucement ; la nuit, surtout en montagne, arrivait très vite. — Vous n’allez pas pouvoir redescendre ce soir, il va bientôt faire nuit, informa Elsa. — Si ! Si ! Ça va y aller, repris Michel sur de lui. — Pas question, vous ne connaissez pas la montagne et si vous vous perdez, c’est tant pis pour vous, et vous risquez de vous faire attaquer par des renards ; alors vous dormirez ici ! ordonna Elsa. — Oui, mais on ne voudrait pas abuser, repris Aurèlie. — Ne vous inquiétez pas, ici tout le monde est toujours le bienvenu, et il y a la bergerie au cas où ! repris Lyli. Alors ils restèrent, nous avions baisé une bonne partie de la nuit. Les filles insatiables en voulaient toujours plus, quand nos queues refusaient de monter, elles nous suçaient à tout de rôle jusqu’à ce qu’elles se redressent. À un moment les filles me portèrent sur la table et se jetèrent toutes les quatre sur moi comme une pieuvre, avec ses huit tentacules et quatre bouches. Je ne sais pas si vous arrivez à imaginer l’effet que cela peut provoquer chez un homme. Je n’arrivais pas à savoir à qui appartenait telle ou telle main ni bouche ou langue. Ma jouissance était à son comble. À un moment une bouche me faisait une fellation d’enfer pendant qu’une autre avait englouti mes bourses et les malaxait avec la langue et les dents. ...
    ... Alors qu’une autre m’entrainait dans une valse linguale et la dernière mordillait mes tétines. Sans compter les huit mains aux doigts agiles où certains décidèrent même d’inspecter mon rectum, je sentis deux doigts puis presque une main entière forcer mon trou. Elles m’ont tenu immobiles, elles m’encourageaient pour que je me relâche et me disaient : — Allez Antoine décontracte toi, ça va aller tu vas voir comme c’est bon ! En effet ce fut bon. Il y avait tout un mélange de sensation, celle de se sentir totalement prisonnier et totalement à leur merci. Il y avait aussi cette intromission si jouissive, au fur et à mesure que la main (je sus après que c’était celle d’Aurélie) pénétrait en moi et plus je voulais qu’elle entre encore plus. L’apothéose fut quand l’autre fille (je ne me rappelle plus de son prénom) pris mon sexe en bouche, me malaxa les testicules et que les trois autres me donnaient des instructions : — Allez Antoine, concentre-toi, retiens-toi le plus que tu peux tu va voir comme ça va être bon. — Oh oui ! C’est bon, entre encore plus dans mon cul ; vas-y mets moi toute ta main ! Et comme pour lui faciliter la tâche, j’agrippais mes fesses et tirais très fort pour ouvrir mon trou du cul. Je me retenais, cela devenait de plus en plus difficile ; je sentais le sperme qui voulait sortir, mais je me tendais le plus possible. Je n’en pouvais plus de me retenir, alors j’ai tout lâché d’un coup, une, deux, trois et peut-être même quatre salves de sperme qui montèrent très ...
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