Jeux entre frères (11)
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... haut au-dessus de moi. Celle qui me suçait avait eu le réflexe de se retirer juste à temps. Vidé de mon sperme et de mes forces, les quatre filles m’abandonnèrent et firent subir le même sort aux autres garçons ; mais vu le nombre ils n’eurent le droit qu’à deux filles chacun au lieu de quatre. Mon frère en pose technique me rejoignit. — Putain ! J’n’en peu plus ! Alors frérot, c’était cool, non ! me dit-il. — Tu l’as dit, dommage que demain il faille repartir. — Mai on va revoir Maman, c’est bien aussi, non ? — Oui, c’est vrai et j’ai hâte de la revoir, pas toi ? — Si, mais je pense à un truc ; qu’est-ce qu’on va lui raconter ? — On verra bien, et si on lui disait la vérité ; tu crois que ça l’exciterait ? — Tu es fou, de quoi tu parles ; ne me dis pas que tu voudrais faire ça avec Maman ? — Non, pas tout, mais juste un câlin, concluais-je. — Oh ! Tu es devenu obsédé où quoi ? — Ne me dis pas que quand tu la vois toute nue, c’la n’te fout pas la trique ? — Tu as raison, et c’est vrai qu’elle est belle. — Et en plus, papa est parti ; elle est sans doute triste. Il faisait presque nuit noire et j’avais sommeil. — On va se coucher ? demandai-je Il y eu un « Oh que oui ! » général qui accueillit ma proposition — Et on fait comment, car nous n’avons que deux lits ? m’inquiétai-je — Et bien, comme les garçons sont galants ; ils vont dormir sur la paille avec les bêtes, et nous les filles dans la maison, ça vous va ? proposa Lyli. Nous avons bien évidemment accepté cette offre ...
... afin de prouver notre galanterie, mais Michel s’inquiéta : — Mais la paille, ça gratte ? se plaignit Michel. — Ah ! Ah ! T’es bien un gars d’la ville toi ! J’vais t’montrer ! repris-je. Dans mon rôle de parfait paysan dur à cuire, je lui fis la démonstration de comment faire un lit confortable avec de la paille. Avant de s’endormir Michel nous posa une question embarrassante : — Dis-te moi les mecs, les deux filles, ce sont vos cousines ? — Bah, oui ? — Et vous les baisez aussi ? — Non, on regarde, c’est tout ! répondis-je d’un air peu convainquant. — Ne me prenez pas pour des truffes, et bien mes salauds ! Et vous n’avez pas peur que cela se sache ? — Tu vois, mec ! Ici il n’y a rien alors on s’occupe comme on peu, répondit-Julien. — Et elles sont d’accord ? — Évidemment, Pff… ! Allez, bonne nuit. Alors qu’il faisait à peine jour, je sentis quelque chose bouger près de moi, au début je crus que c’était un des chiens, mais je compris très vite quand une main se posa sur mes fesses. Comme il faisait très chaud, je n’avais rien mis sur moi. Je mes retournai et aussitôt une bouche vint chercher mes lèvres, mon cœur s’emballa et je touchais le corps inconnu. C’était Aurélie. — Je suis venue te dire bonjour, tu me fais une petite place ; j’ai froid. Alors, elle s’est blottie tout contre moi, sa tête posée dans le creux de mon bras qui l’enlaçait. Elle parlait avec ses mains en me caressant le torse, le ventre, le pubis et m’empoigna le sexe qu’elle massait doucement. — J’ai envie de ...