L'énigme Koliza (1)
Datte: 31/01/2018,
Catégories:
Hétéro
Les yeux au plafond, allongé dans son lit, je viens de coucher avec Koliza et j’ai pris un pied géant. Les yeux au plafond, je sais que ce rapport sera suivi de quelques autres. Peut-être de quelques dizaines. Peut-être de quelques centaines. Les yeux au plafond, j’envisage que Koliza soit la dernière. Je n’aurais jamais imaginé cela quand, cinq mois auparavant, Koliza avait emménagé dans un immeuble à proximité du mien. Dès la rentrée de janvier, elle a commencé à emprunter le même chemin que moi pour emmener sa fille à l’école. Celle-ci est âgée de 5 ans et Koliza l’accompagnait matin, midi et soir. De mon côté, je ne travaillais pas les jeudis. C’était uniquement ce jour-là que nous nous croisions. Koliza a commencé à me saluer à partir du mois de mars. Auparavant, j’avais surtout été rebuté par sa corpulence. Sous la poitrine, le corps de Koliza n’était que rondeurs. Du ventre, des fesses larges et grosses, des cuisses volumineuses. Impossible de parler de culotte de cheval à ce niveau-là. C’en était d’autant plus impressionnant que Koliza ne portait que des leggings. Je pensais qu’elle avait un problème hormonal. Mais à partir du moment où elle m’a salué pour la première fois, je ne peux expliquer pourquoi j’ai commencé à la regarder différemment. Était-ce en raison de ses magnifiques yeux verts ? De son merveilleux sourire ? De sa longue chevelure noire ? De cette douceur qui émanait d’elle ? Probablement un peu de tout ça. Je me souviens avec précision de ce ...
... magnifique jour d’avril. A midi, j’attendais mon fils au milieu d’autres parents et grands-parents, parmi lesquels se trouvait Koliza. Sa fille était sortie juste avant mon fils et Koliza s’était retrouvée juste devant moi sur le chemin de la maison. Mon fils discutait avec un copain et moi, je n’avais d’yeux que pour ce très large cul dont le gras frémissait à chaque pas. En transparence de son leggings noir, je devinais un tanga du même coloris. Au bout de chemin, je bandais comme un âne et cela m’avait quelque peu déstabilisé. Je n’avais en effet jamais été attiré par une femme de la corpulence de Koliza. Il s’était encore déroulé trois semaines avant que nous n’allions plus loin que les "Bonjour". Pour la première fois, Koliza n’était pas accompagnée de sa cadette pour ramener son ainée à l’école après la pause de midi. J’avais profité de ce changement : — La petite ne vous accompagne pas aujourd’hui ? — Non, elle être chez son papa. Son sourire m’avait fait bégayer. Sur le chemin du retour, j’avais appris que leur séparation était la raison du déménagement de Koliza et des fillettes. Le français hésitant de Koliza la rendait plus touchante à mes yeux. Au moment où nos chemins devaient se séparer, j’avais proposé à Koliza de poursuivre notre balade. Je n’aurais pas pu la surprendre plus que cela. A son tour, elle avait bafouillé avant de d’accepter. Nous avions fait le tour du parc puis nous nous étions assis sur un banc. Koliza m’avait raconté sa jeunesse au Kosovo, son pays, la ...