1. L'INCONNU DU CINEMA (4)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... concurrence. J’ai pris mon téléphone pour l’appeler à plusieurs reprises, mais toujours personne rien que le répondeur, malgré plusieurs messages il ne rappelait pas, du coup mon angoisse s’est encore accentué. J’ai repris mon travail mais le cœur n’y était pas, j’ai laissé ma vendeuse quasi toute seule toute l’après midi, enfermé dans mon bureau à ruminer mon état de manque. Le soir venu il n’avait toujours pas donné signe de vie, j’en ai même ressentis de la tristesse, résignée je suis rentré à la maison convaincue qu’il ne m’appellerait plus, que cette belle aventure était terminé. Comme à chaque fois, mon époux a été charmant avec moi, me voyant triste il cherchait à me remonter le moral par tous les moyens, bien entendu il ne se doutait pas une seconde du pourquoi et du comment. J’ai prétexté une mauvaise journée, des soucis avec la collection d’un fournisseur qui ne satisfaisait pas mes clientes, etc. Je me surprenais à devenir une bonne menteuse, une vraie comédienne à tel point qu’il m’a laissé m’endormir tendrement blottie entre ses bras, j’adore ces petits moments de tendresse où il nous semble que rien ne peut nous arriver. J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir repensant sans cesse à cette mauvaise journée, cherchant tous les cas possible qui pourraient justifier son absence et ce terrible silence. Cela dura quelques jours qui m’ont paru une éternité et toujours aucune nouvelle de lui, je désespérais de le revoir un jour, petit à petit je tentais de me faire une ...
    ... raison. Et puis un nouveau matin s’est présenté, petit déjeuné en amoureux et petite tape sur mes fesses avec le bisou pour me souhaiter une bonne journée, mon homme est parti travailler le premier. Pour ma part, étant un peut en avance sur l’horaire, je terminais quelques brins de ménage dans la cuisine lorsque la sonnette retentis. — Ding-Dong. — Oui j’arrive, juste un instant. J’ai ouvert la porte pensant à une livraison quelconque et là quelle ne fut pas ma surprise, il était là devant moi, toujours aussi beau et élégant au point que mes jambes se sont mises à trembloter. C’est la gorge sèche que j’ai réussi à balbutier : — Bon... bonjour, vous... Vous êtes là ? — Cela ne vous fait pas plaisir de me voir ? — Si, bien sur mais… je croyais que… — Et bien vous me laissé entrer ? — Oui, vous voulez un petit café ? — Non merci, Il me colla une main aux fesses pour me pousser vers l’intérieur, sans se soucier si quelqu’un aurait pu nous voir, il à refermé la porte et m’a plaqué contre le mur pour m’embrasser à pleine bouche. Ses mains ne restaient pas inactives car elles parcouraient déjà mon corps en passant sous ma robe qu’il avait relevé très facilement. — C’est bien, je vois que vous êtes toujours bien disposée. Je n’osais rien dire, trop heureuse de sa présence, je savourais le moment. Sa main passa doucement sur mon ventre en me procurant d’agréables frisons, puis il la glissa plus bas, et encore plus bas pour venir me caresser la vulve. Il sembla surpris et me chuchota à ...
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