1. L'INCONNU DU CINEMA (4)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... faire duré indéfiniment. Sans la douleur j’aurais déjà jouis depuis longtemps, mais là non, j’avais l’impression de jouir en permanence entre chaque fessée la jouissance repartait de plus belle à m’en faire trembler les jambes et juste avant l’explosion fatale il m’assénait une nouvelle claque brutale qui faisait retomber l’extase. J’étais en transe et lui continuait à m’envouter de mots crus — Vous êtes trempé comme une petite pute, on dirait que vous aimez çà… — Voulez vous que j’arrête ? — Non…hum…oui continuez, je vous e prie — Alors vous allez être très, très obéissante, n’est-ce pas ? — hum…Oui… Tout ce que vous voudrez…Oui… — Alors, vous allez nous invitez chez vous, mon maître et moi, pour nous présenter votre mari. Avais-je bien compris, l’esprit embrumé par les vagues de plaisir je n’avais pas saisie du premier coût. — Hein… oui… vous voulez quoi ? — Vous avez bien compris ce que nous voulons. En même temps qu’il me parlait ses mains redoublaient dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il me maintenait au bord de la jouissance. Mais une mince lueur de lucidité ma permit de dire timidement : — Hum… non… ce n’est pas bien…hum…je ne peu pas… — Ne discutez pas, vous devez obéir un point c’est tout. — Non…pas mon mari…je vous en prie… Il redoubla d’efforts pour me faire jouir, il enfilait maintenant plusieurs doigts dans ma chatte avec de rapides vas et vient qui me faisaient couiner comme une pucelle. — Alors je n’ai rien entendu ? — hum, oui…oui… tout ce que ...
    ... vous voudrez… — Quoi ? — Oui… mon mari…à la maison…oui… Soudain la main fesseuse s’arrêta net et il la glissa entre mes fesses jusqu’à poser ses doigts sur ma rosette toute chaude, il glissa encore plus bas pour récupérer ma mouille baveuse et lubrifier mon petit trou qui se dilatait déjà. Tout en me branlant il appuya fermement un doigt sur la corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité s’est ouverte pour engouffrer un, puis deux doigts qui ont aussitôt cadencé un vas et vient sur ceux qui me pénétraient devant. Sensation exquise que cette pénétration simultanée des deux orifices, les doigts coulissaient facilement dans chaque trou tellement j’étais lubrifiée. — Alors qu’allez vous faire ? — Hum… vous invitez… à … la maison... pour mon…mon mari — Voilà, c’est bien on y arrive Il accéléra la cadence de part et d’autre avec maintenant quatre doigts me pourfendant la moule et trois autres qui m’enculaient brutalement. Je ne tenais presque plus sur mes jambes tellement c’était bon, écartant le plus possible mes cuisses pour lui faciliter la tache, je me sentais écartelée et fouillée de toute parts, j’ai même cherché son visage pour lui sucer la langue. Il a répondu à mon baissé baveux, langue contre langue nous mélangions nos salives comme deux affamés. — ouiii… c’est bon… vous me rendez… folle — C’est bon de se faire mettre comme une pute ? — oui…oui, c’est trop bon… faite moi jouir…je vous en prie. — ok pour cette fois, mais si vous me contrariez encore… — non, je… ...
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