L'INCONNU DU CINEMA (4)
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ferais... plus…hum… — Alors tenez ma belle régalez vous. Soudain il coordonna les mouvements des deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans les deux cavités, les doigts pénétraient et ressortaient en même temps de chaque coté m’élargissant les chairs plus que nature. Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masquait immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il forçait la cadence et tapait de plus en plus fort contre mes organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration. J’entendais les bruits avilissants de ma mouille qui trahissaient mon état, ce qui rendait la scène encore plus perverse et participait largement à la monter de ma jouissance. Tout en m’embrassant et me pilonnant les parties intimes, il me dit : — Ne vous retenez pas, laissez vous partir Mes jambes flageolaient sous les vagues de plaisir, j’ai perdue toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir. Et elle est venue cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, j’ai joui du cul et de la chatte en même temps, inondée par des flots de vibrations qui m’ont presque fait perdre connaissance, j’ai jouis intensément pendant plusieurs minutes c’était physiquement épuisant. — Et bien, heureusement que j’étais là pour vous retenir, vous ne faite pas semblant. Cherchant à reprendre mon souffle et mes esprits, je me suis blottie contre lui en le tenant par le coup. — Que me faite vous subir, vous êtes ...
... cruel avec moi — Si c’est cela la cruauté il me semble que vous aimez çà, non ? — Suis-je normale de jouir autant et si facilement ? — Je vous rassure toute à fait normale, mais vous n’avez encore rien vu car je compte bien utiliser tout votre potentiel et croyiez moi, il y en a. Reprenant doucement mes esprits, je pris consciente de notre discussion pendant qu’il me faisait jouir, mon cœur si mit à battre plus fort et d’une voix presque timide je lui ai demandé : — Tout a l’heure vous étiez sérieux… pour la maison et mon mari ? — Vous doutez de moi, bien sur que c’est sérieux, pervers mais sérieux. — Mais je ne peu pas, comprenez moi…c’est difficile, comment… — Le comment ne nous importe pas, c’est à vous de faire ce qu’il faut, nous gèrerons le reste. Je vous donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je vous souhaite une bonne journée. J’étais encore nue lorsque il a ouvert la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue aurait pu me voir, un claquement de portière et j’ai entendu sa voiture s’éloigner. Je suis restez là, seule pensant à comment j’allais bien pouvoir me sortir de cette délicate situation, les inviter chez nous et leur présenter mon mari, mais ils étaient vraiment fous, c’était tout simplement impensable. Et puis qu’est-que cela pouvait bien leur apporter, où voulaient ils en venir, connaître mon mari pour quoi faire ? Maintenant que je n’étais plus sous l’emprise du plaisir ma conscience reprenait sa ...