1. L'INCONNU DU CINEMA (4)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chauffait les tempes, j’ai donc ouvert ma boîte mail pro car il ne connaissait pas ma boite perso et passant tous les messages j’ai vu un mail nommé (Comment vous faire changer d’avis). L’ordinateur à mis du temps à le charger à causes de plusieurs pièces jointes assez volumineuses, c’était des photos et il y en avait cinq, pendant ce temps mon amant s’impatientait au téléphone. — Alors où en êtes vous ? Je n’ai pas que ça à faire, j’attends votre réponse. J’ai cliqué sur la première photo pour l’apercevoir sur l’écran et là j’ai failli m’évanouir comprenant d’un seul coup que j’étais piégé et à leur merci. La photo me montrait à l’arrière de la voiture, jambes ouvertes avec la main de notre inconnu qui me caressait, on distinguait très bien mon visage il m’était impossible de nier la scène. J’ai rapidement affiché les autres photos, sur la deuxième on distinguait la pénétration de plusieurs doigts de ce pervers et le pire c’est que je présentais un visage radieux et satisfait. Sur la suivante j’avais carrément tout l’avant bras planté en moi, c’était vraiment obscène comment ses salauds avaient ils pu me faire çà. La quatrième n’était pas mieux, j’étais à cheval cuises grandes ouvertes sur les jambes de ce salaud, les nichons à l’air et la bouche entre ouverte comme si je jouissais et en premier plan on distinguait sa grosse queue qui m’enculait à fond. Et sur la dernière, c’était l’apothéose il m’enculait toujours mais je tenais des deux mains un gode énorme avec lequel ...
    ... je me défonçais la moule. Malgré cette trahison et ma rancune naissante la vue de ses photos très explicites m’avait néanmoins émoustillé, mon esprit se rappelant le fantastique plaisir que mon corps avait retiré de cette expérience. — Vous êtes des salauds… — Oui ma chère, mais c’est pour cela que l’on vous manque — Vous comprenez bien que nous avons un tas d’autres photos de vos exploits et que nous mourons d’envie de les partager avec… Votre époux. A ces mots j’ai eu comme un malaise, mes mains se sont mises à trembler et j’étais paralysé par cette hypothèse que je redoutais tant. — Non, ne faite pas çà, je vous en prie. — Je pense qu’il est déjà trop tard, nous vous avions donné sept jours et pas un de plus, aussi je pense qu’a cette heure ci votre mari ne reçoive quelques exemplaires bien sélectionnés pour leur, comment dire… leur perversité. — Non, non je vous en supplie…arrêté tout…j’accepte vos moindres désirs, je vous en prie ne faite pas çà. Un long silence ma permis d’espérer que cela soit encore possible, que je pouvais encore sauver les apparences et mon couple, que tout çà n’était qu’un mauvais rêve. — Bon, je vais voir avec mon maître ce qu’il est encore possible de faire et je vous rappel, pendant ce temps, vous allez imaginer cette fameuse soirée qui nous tient à cœur aux uns et aux autres. Il a raccroché et j’ai éclaté en sanglots sur mon bureau avec toujours la dernière photo affichée sur l’écran de l’ordinateur. Mon dieu, si mon mari voyait çà il tomberait ...
«12...678...»