Première soirée libertine
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
extracon,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... sur ma beauté ainsi dévoilée, et me proposa de parfaire celle-ci en m’épilant le reste de la raie. Il est vrai que – sans être réellement poilue - elle était couverte d’un fin duvet. Je faisais confiance à Sophie ; elle me demanda de me placer à 4 pattes sur la table en écartant les jambes. Je me mis en position. Le contact de ses mains gantées de latex sur mes fesses nues m’électrisa. Elle appliqua la cire sur toute ma raie et me demanda de rester ainsi 3 minutes en essayant d’écarter mes fesses. Je restai dans cette position indécente, puis elle revint et, d’un coup sec et douloureux, retira la bande de cire ; j’étais enfin lisse. Je dois reconnaître que de redécouvrir mon petit abricot totalement lisse me faisait de l’effet et que je sentais à présent mon sexe s’humidifier alors que je sortais de l’institut. La première étape était franchie. Pour la seconde, je devais me rendre dans une boutique spécialisée ; c’est ainsi que je me retrouvai devant la vitrine de « Songes de Cuir », à Lyon. De magnifiques ensembles plus torrides les uns que les autres étaient présentés ; parmi eux, des tenues de vinyle noir et rouge… J’entrai dans la boutique, vide de tout client ; seul, un monsieur d’une quarantaine d’années était derrière le comptoir. J’aurais toutefois préféré une femme, et je rougis. Je parcourus la petite boutique et trouvai facilement le rayon des tenues SM. Le propriétaire de la boutique m’avait rejoint. Il me proposa son aide. Son calme et sa bienveillance apparente ...
... m’ont rassurée, et je lui fis part du plan que j’avais élaboré. Il me complimenta pour cette démarche visant à satisfaire mon mari et, pour être au calme, me proposa de passer dans une alcôve jouxtant la boutique. Je m’y laissai guider ; cette petite pièce était décorée avec goût : il y a avait là deux fauteuils de velours rouge, un canapé assorti, une table basse, un paravent, ainsi qu’une petite estrade entourée de miroirs. Il me proposa de me mettre à l’aise ; je m’installai sur le canapé. Au bout de quelques minutes, il était de retour, porteur de nombreuses boîtes. Il me présenta différents modèles, tous plus sexy les uns que les autres. Mon attention fut attirée par une mini-robe en vinyle rouge, brillante à souhait. Comme mes yeux étincelaient d’envie, il me proposa de la passer. Je me dirigeai derrière le paravent, et ôtai ma veste de tailleur bleu ciel sous laquelle je portais un balconnet en dentelle blanche ; puis je fis glisser ma jupe portefeuille, ne gardant que mon brésilien assorti au balconnet ainsi que des bas auto-fixants blancs aux larges revers de dentelle. Je passai la mini-robe rouge ; le contact du vinyle froid sur ma peau m’électrisa. Elle était sans manches, avec un col ras du cou et le dos nu ; de plus, elle était très courte, dévoilant le revers de mes bas blancs. Je revins dans la boutique, où mon guide me complimenta à nouveau, tout en me faisant remarquer que mes dessous étaient trop visibles et que le noir aurait été préférable au blanc. Il me ...