Première soirée libertine
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
extracon,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... tendit des bas noirs et me proposa de m’aider ; se plaçant derrière moi, il dégrafa la robe qui glissa au sol. — Vous êtes réellement ravissante, très bourgeoise, dit-il en souriant. Je dégrafai mon balconnet, libérant mon 90b dont je suis si fière ; puis mon brésilien et mes bas prirent le même chemin. J’étais totalement nue, seule devant un inconnu. Il me fit asseoir et roula les bas noirs avec une infinie délicatesse. Je lui tendis une jambe, et il déroula le premier bas, très fin, sur toute sa longueur, puis le second. Dans cette position, il pouvait admirer à loisir mon sexe fraîchement épilé. Mes escarpins blancs ne convenant pas, il me laissa ainsi pour chercher d’autres chaussures. J’en profitai pour m’admirer dans les grands miroirs, de plus en plus convaincue de la réussite de mon entreprise de séduction envers Xavier. Mon vendeur revint, m’apportant des cuissardes en vinyle noir, et s’accroupit devant moi. Je glissai mes pieds dans les cuissardes dont les talons étaient très hauts, au moins 10cm ; elles étaient très belles. Il en remonta les fermetures en prenant garde de ne pas pincer les bas. J’étais hyper cambrée, ainsi perchée : les bottes montaient à mi-cuisse, et seuls les revers de dentelle des bas noirs dépassaient des cuissardes. Il me proposa de m’admirer sur l’estrade, et m’aida à en gravir les marches. Je dois reconnaître que cela prenait forme… Il m’encouragea alors à passer la robe sans le moindre dessous. — Pas mal du tout… Vous êtes divine, ...
... ainsi ! Un très beau début. Je l’interrogeai : — Que me conseillez-vous pour la suite ?— Promettez-moi d’essayer, et je suis sûr que votre mari sera conquis. Il s’absenta de nouveau ; j’étais intriguée, mais très excitée. Je pris l’initiative d’enlever la robe, ne gardant que les cuissardes et les bas noirs. Il réapparut avec une boîte qu’il ouvrit sur la table basse : c’était un ensemble de lanières de cuir et de chaînes métalliques, qui m’intrigua. — Qu’est-ce que c’est ?— Je vais vous les passer ; il s’agit d’un porte-jarretelles et d’un balconnet. Il plaça sur mes hanches une lanière de cuir noir qui prit la forme d’un porte-jarretelles orné de chaînes métalliques, dévoilant plus ma nudité que la masquant ; il fit de même avec le balconnet, dont les froides chaînes métalliques excitaient mes tétons déjà dressés. Ses mains douces fixèrent les jarretelles de cuir noir aux revers de dentelle de mes bas noirs. Debout devant lui, je puis m’admirer dans les grands miroirs qui me renvoyaient une image que je ne soupçonnais pas. — Maintenant vous êtes divine, m’assura-t-il ; si j’osais, je vous proposerais un accessoire…— Lequel ? Vous m’avez déjà transformée en fantasme ; puis-je être encore plus désirable ? Il ouvrit une petite boîte rectangulaire, et en sortit des boules de geisha, accessoire que je connaissais pour l’avoir vu dans certains films X. — Avez-vous déjà essayé cela ?— Non, je dois l’avouer. Il m’installa dans l’un des fauteuils, plaçant l’une de mes jambes sur un ...