Première soirée libertine
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
extracon,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... une trentaine de minutes de douceur solitaire, je me décidai à sortir de l’eau. Je passai un kimono de satin rouge, et j’entrepris de sécher mes longs cheveux blonds. Leur longueur demande un entretien régulier, mais ils sont un réel plus dans mon look. Combien de fois Xavier fut troublé de me découvrir en petite tenue, mes longs cheveux blonds tombant librement sur la naissance de mes fesses ? Une bonne heure a été nécessaire pour le coiffage et le maquillage, un peu plus soutenu que d’habitude. Le miroir me renvoyait l’image d’une Chrystelle beaucoup plus "sexe", et prête à tout. Enfin, ce fut le moment délicieux de l’habillage. En ôtant le kimono de satin rouge, mon image de femme fatale m’excitait déjà. La gorge nouée, je plaçai sur mes hanches le porte-jarretelles constitué de lanières de cuir et de chaînes métalliques ; le contact froid du métal sur mon pubis fraîchement épilé me fit fondre, et mon petit abricot s’humidifia immédiatement. Puis je passai le balconnet assorti, dont le jeu de lanières de cuir encerclait mes seins aux tétons dardés sous les chaînettes métalliques. Je gainai mes longues jambes des bas noirs aux larges revers de dentelle, auxquels je fixai les jarretelles de cuir noir. J’ajustai le tout en me redressant devant le miroir. Je m’assis de nouveau pour passer les cuissardes de vinyle noir aux talons hauts ; en remontant le zip, je lissai mes bas afin que les revers dépassent du haut de chacune des cuissardes. Délicieuse attention de mon ...
... charmant vendeur de l’après-midi, il avait glissé dans mes nouveaux trésors un collier en cuir noir clouté orné d’un anneau. Je m’empressai de le passer à mon cou, positionnant l’anneau sous mon menton : voilà qui me changeait des colliers de perles ! J’étais fin prête, et déjà au comble de l’excitation. Toutefois, je passai par dessus un long chemisier en voile noir très transparent que je laissai ouvert : tout en étant hyper sexy, cette note me rendait un peu plus sophistiquée. Le champagne était au frais et je pris un réel plaisir à déambuler ainsi "vêtue" dans la maison, m’affairant à préparer une réception particulière pour mon cher époux. Il me restait environ 30 minutes à patienter ; aussi, je m’installai dans l’un des fauteuils de cuir ivoire de notre salon. L’ambiance était électrique ; la lumière tamisée, agrémentée de quelques bougies, donnait à notre salon des airs de décors de cinéma, que j’espérais le plus "X" possible… Enfin, le bruit caractéristique de la voiture sur le gravier de l’allée ; mon cœur s’accéléra. La porte s’ouvrit, mais je ne bougeai pas. Il était dans l’entrée. — Chrys ?— Je suis au salon. Ma voix tremblait d’excitation. — Entre, je vais te présenter Chrystelle. La peur me saisit : Xavier n’était pas seul ! Comment faire ? Je ne pouvais me rendre dans ma chambre sans passer par le hall d’entrée… Tétanisée sur mon fauteuil, je sentis mon sang se glacer. Je restais immobile, essayant de fermer le long chemisier afin de cacher ma tenue ; mais sa ...