Carole: caissière, étudiante, perverse. Part I/II
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
J’ai dû aller plus de 100 fois dans ce supermarché sans y prêter la moindre attention, mais il y avait là, à la caisse, une jeune demoiselle qui me faisait toujours un large sourire lorsque je passais devant. On échangeait des banalités, et aussitôt les courses réglées, je filais sans un regard en arrière. Elle était jeune, certainement étudiante, des petites joues de hamster, un maquillage mal maitrisé qui laissait penser qu’elle voulait plus se cacher que se montrer, et des cheveux longs qu’elle avait teintés en orange halloween… quelle idée ! Voilà qu’au bout de quelques temps, je me surprends à la chercher du coin de l’œil lorsque je passe à nouveau à la caisse. Tiens ! Elle est là ! Ce n’est pas la file la plus courte, mais au moins je sais que je serais bien accueilli. Comme à son habitude, elle est souriante et nous parlons rapidement de la pluie et du beau temps, oui il y a du monde derrière qui attend. Arrivé chez moi, je consulte le ticket de caisse machinalement, quand je remarque qu’il y a une note manuscrite en bas : « Carole, 0692xxxxxx ». Je suis assis, dans mon canapé, avec un large sourire béat, comme un ado qui vient d’avoir un rencart avec la fille qu’il convoite en secret depuis des mois ! Je me jette sur mon téléphone, et me rappelle qu’elle doit certainement être encore à son travail.J’ai tourné toute la journée, à me demander ce que je devais faire, la rappeler ? lui dire quoi ? lui proposer quoi ? connaissait-elle mon nom ? comment allais-je me ...
... présenter en l’appelant ? J’ai réfléchi à tous les détails mais je ne trouvais que peu de réponses. Je prends mon courage à 2 mains et me dis que je ne dois pas trop gamberger. J’appelle ! .« Bonjour Carole, c’est « Laurent », vous m’avez laissé votre numéro sur un ticket de caisse, alors j… ».Surprise totale!, c’est la voix d’un homme qui me répond :« Ah c’est vous le Laurent ?, attendez, je vous passe Carole… »Le ridicule petit plan que j’avais en tête s’est retrouvé complètement à l’eau. Carole prend enfin le téléphone et complètement déstabilisé, je ne fais que lui répondre machinalement : rendez-vous est pris pour le lendemain soir dans un bar de la ville. Cette attente a été longue, avec beaucoup plus de questions que de réponses et difficile de penser à autre chose. En fait je passais de la joie euphorique à une déprime profonde en quelques secondes. Les collègues ont dû vraiment me croire malade ce jour-là ! Nous y voilà. Je suis installé à une table dans le bar, et je la vois arriver, en fait c’est même la première fois que je la vois debout. Elle est plus fine que ce que j’imaginais, plus grande plutôt. Elle porte une longue robe fluide avec un profond décolleté, ses cheveux orange attachés en chignon sur le côté, un minuscule sac en bandoulière. Son maquillage est plus léger et souligne ses magnifiques joues. Je croquerais bien ces petites joues. Je la trouve belle. Elle me cherche du regard, et s’installe à ma table. On prend du temps pour parler, on rit, on boit un peu, ...