1. Carole: caissière, étudiante, perverse. Part I/II


    Datte: 02/02/2018, Catégories: Anal Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... bref on passe un bon moment ensemble. J’en apprends un peu plus sur elle. Elle est étudiante en 2ème année à la fac d’anglais, mais elle ne sait pas quoi faire après. Du coup, elle enchaîne les boulots pour avoir un peu de fric. Elle vient du Sud, avec son accent si typique et si délicieux. L’heure avance et on se quitte en se disant qu’il faudrait remettre ça bientôt. Je n’ai pas osé aborder le sujet de l’homme qui a répondu, de peur de passer pour un gros jaloux ou d’avoir une réponse qui me déplaise.Quelques jours plus tard, nous avons rendez-vous de nouveau, dans le même bar en fait. On discute un peu et puis je me rends compte que son pied touche ma jambe de temps en temps. Elle me regarde avec plus d’insistance dans les yeux, et on peut le dire, minaude beaucoup plus que la première fois. Elle joue dans ses cheveux, se tient un peu plus droite, la poitrine gonflée, et rit un peu trop souvent à mon goût d’ailleurs. Pourtant sa toilette est moins distinguée que la première fois, un débardeur orange délavé, un mini short en jean, cheveux lâchés et peu de maquillage. Assez rapidement, elle me dit qu’elle veut partir parce qu’elle a de meilleures bières chez elle. Je l’accompagne volontiers, me disant que le coup du dernier verre, en ...
    ... général c’est l’homme qui le fait. Elle n’habite vraiment pas loin, on y va à pied. Elle vit dans un petit immeuble, on monte au dernier étage et elle ouvre une porte sur la droite. Tiens, la lumière et allumée, et on entend la télé. Peut-être laisse-t-elle tout ça pour faire croire qu’il y a du monde. Euh… en fait pas besoin de faire croire, il y a du monde. Un homme jeune, torse nu, limite bodybuilder est assis dans le canapé et regarde la télé. Etait-ce ce mec qui m’avait répondu ? Elle s’approche de lui et l’embrasse à pleine bouche… Bon, ok, qu’est-ce que je fous là ? je serre ma sacoche machinalement et je regarde derrière moi pour repérer la porte, un piège pour me détrousser ? L’homme se lève et vient m’en taper cinq avec un large sourire. « Laurent ? moi c’est Stéphane, Carole m’a parlé de toi ! » … « En bien j’espère. ». Carole m’invite à m’assoir et m’offre une bière. Elle s’assoit à son tour et m’explique qu’elle est en couple avec Stéphane mais qu’ils sont libres de baiser avec qui ils veulent. Et visiblement, elle voulait baiser avec moi devant son homme. Les choses sont claires maintenant. Tout ce plan, cette exaltation, ce sentiment limite amoureux qui avait grandi en moi s’est dégonflé d’un coup : c’est pour un plan cul. 
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