1. La dame du courrier


    Datte: 02/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, fplusag, couplus, grosseins, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, hsodo,

    Madame Bertin avait une poitrine particulièrement énorme. Cette grande brune rustique qui approchait peu à peu de la retraite travaillait depuis plus de dix ans au service du courrier. Elle y sévissait déjà lorsque j’avais été embauché dans cette petite entreprise stéphanoise. Notre première rencontre avait été fortuite. J’étais tombé nez à nez avec cette imposante paire de nichons au détour d’un couloir. J’avais même failli m’écraser dessus. Par la suite, traumatisé par cette surprenante découverte, j’avais cherché à savoir à qui appartenait cette poitrine hors normes. Qui était donc cette femme ? Où travaillait-elle ? Le mystère éclairci, mes visites au courrier se firent alors de plus en plus fréquentes, tous les prétextes étaient bons pour m’enquérir d’une missive. Les nibards de cette femme me fascinaient vraiment, de par leur gigantisme, et, lorsque j’étais près d’elle, je les matais sans gêne et sans même chercher à m’en cacher. J’avais pourtant des tas de petites copines, des nanas de mon âge plutôt bien roulées avec qui je flirtais et qui finissaient de temps en temps dans mon lit. Elles étaient plus belles, plus jeunes, plus attirantes, alors que la mère Bertin était plutôt grossière avec son début de moustache et puis son cou taurin. Louise, qu’elle s’appelait ! Elle avait un rire bien gras, reconnaissable entre tous. J’adorais lui sortir des plaisanteries bien lourdes pour l’entendre glousser comme une truie qu’on égorge. C’était mon péché mignon, mon petit ...
    ... plaisir de la journée. Au fil des semaines et des années, je prenais de l’assurance et c’était désormais souvent des blagues de cul que je lui glissais entre quatre yeux, lorsque nous étions seuls dans son local. Elle n’était pas réfractaire à ce genre d’humour et n’en semblait pas vraiment choquée. J’en profitais alors pour mater à loisir sa poitrine gigantesque qui se balançait négligemment sous mes yeux ébahis. Je n’en avais jamais vu d’aussi grosse, en tout cas jamais d’aussi près, et pas d’aussi réelle. Ses lolos étaient engoncés dans un sac à viande d’un autre âge, tout simplement propice à contenir leur divine opulence. Je crois qu’elle n’était pas dupe de mon petit manège et qu’elle ne l’avait en fait jamais été. Lorsque j’allais un peu trop loin dans mes plaisanteries grivoises, lorsque mes sous-entendus se faisaient un peu trop proches, elle remettait en général les pendules à l’heure en mettant des distances entre nous. Elle me parlait alors de son mari, chauffeur routier de son état, un grand type qui arborait une belle paire de bacchantes : un mec solide, bien charpenté, rien à voir avec le gringalet que j’étais. Ce colosse avait bien de la chance de pouvoir user ainsi d’une aussi belle paire de miches ! Je crois que pour ma collègue, à cette époque, je ne représentais en fait que l’archétype du petit vicieux sympathique, un petit obsédé obnubilé par ses protubérances mammaires. Elle en avait pleinement conscience mais n’y trouvait rien à redire. Simplement, elle y ...
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