La dame du courrier
Datte: 02/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
fplusag,
couplus,
grosseins,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
hsodo,
... mettait quelques limites. Normalement et de façon logique, notre relation aurait dû en rester là ! J’ignore précisément ce qui la fit changer d’attitude à mon égard. Peut-être des problèmes récents avec son mari ou une envie soudaine de profiter un maximum de la vie avant la vieillesse ? Toujours est-il qu’un matin où j’avais embauché un peu plus tôt, je la vois débouler dans mon bureau et, comble de surprise, alors que je suis en train de faire des recherches sur mon ordinateur, la voici qui fait le tour de la table et qui vient se coller tout contre moi, sous prétexte de regarder ce que je fais. Durant toutes ces années, nous n’avions jamais été aussi proches. Elle s’était littéralement plaquée contre moi et je sentais clairement la chaleur irradier de son corps et ses formes pulpeuses rouler lentement contre ma peau. De son côté, pour ne pas avoir l’air, elle faisait mine de s’intéresser à mon travail. Pourtant, le but ultime de sa démarche ne faisait aucun doute. C’est avec un volontarisme sans ambages qu’elle plaquait ses énormes appas contre mon dos. Paradoxalement, j’étais traumatisé par cette envie soudaine que je n’aurais jamais pu soupçonner auparavant. Je n’osais d’ailleurs faire aucun geste. Un bruit dans le couloir m’arracha au supplice. Elle se détacha de moi pour revenir à une position plus correcte. Elle salua brièvement mon collègue qui venait d’entrer et s’en fut rejoindre son poste de travail, en me laissant dans un état second. Ce matin-là, je fus ...
... particulièrement inefficace dans mon job, je rêvassais en pensant à cette curieuse expérience. Pourtant, contrairement à mon habitude, je ne fis ce jour là aucun détour par le courrier, comme effrayé par ce qui allait être désormais inéluctable. Avais-je réellement envie « de me faire » cette grosse femme un peu trop moustachue ? Le soir-même, je me suis masturbé pendant des heures en repensant à elle, prenant soin de ne pas aller jusqu’au bout de ma jouissance. Envie d’elle ? Oui, j’avais très envie d’elle, c’est indiscutable, elle avait pourtant le double de mon âge et n’était pas très jojote. Il n’empêche que je la trouvais excessivement bandante. Je savais qu’elle embauchait particulièrement tôt et, le lendemain, je fis un effort pour m’arracher du lit de bonne heure. À six heures trente pétantes, je poussais la porte du courrier : — Oh Vincent ! Tu es bien matinal aujourd’hui ! se contenta-t-elle d’affirmer, à peine surprise de mon arrivée. Mais j’allai droit vers elle et l’enlaçai de suite avec vigueur. Ma bouche mit peu de temps à trouver la sienne et elle se donna sans aucune réserve, preuve de son attirance envers moi. Alors que je lui roulais un patin d’enfer, j’en profitais également pour palper abondamment ses miches. Debout dans un coin de la salle, collés l’un à l’autre contre un mur, nous continuions à nous bécoter comme deux collégiens qui découvrent l’amour, mes mains baladeuses se faisaient très pressantes. Elles ne tardèrent d’ailleurs pas à se risquer entre ses ...